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Le 25 février dernier, tous les maillons de l’industrie se sont réunis à la Maison de l’Union des producteurs agricoles pour échanger sur les préoccupations liées à l’introduction de contre-tarifs canadiens sur les produits en provenance des États-Unis, et leurs impacts potentiels sur l’agriculture et la transformation alimentaire. Ces discussions ont mis en lumière l’importance cruciale des engrais et fertilisants dans nos activités de production.

Le 20 février, notre équipe a également participé à la Filière Boulangère, et le 21 février, à l’activité d’échanges du Secrétariat de la Politique bioalimentaire (MAPAQ) « Cap sur la politique bioalimentaire 2025-2035 ». Ces événements ont permis de renforcer nos échanges sur l’avenir et le développement de notre secteur.

Chez RVQ, nous sommes fiers du travail accompli par nos membres et du rôle central qu’ils jouent collectivement pour accompagner les agriculteurs dans leur mission de nourrir notre province.

À l’approche de l’annonce des potentiels tarifs douaniers imposés par l’administration Trump, notre équipe demeure vigilante et à l’écoute de vos préoccupations, commentaires et réactions.

Ensemble, continuons de faire avancer notre secteur et de soutenir notre agriculture.

Partagez cette bonne nouvelle dans vos réseaux!

Les producteurs agricoles peuvent désormais avoir accès à une formation 4B répondant spécifiquement à leurs besoins.

La gestion des nutriments 4B est une méthode de fertilisation reposant sur quatre principes fondamentaux : la Bonne source, la Bonne dose, au Bon moment et au Bon endroit. Cette approche vise à optimiser l’utilisation des fertilisants pour maximiser les rendements agricoles tout en minimisant les impacts environnementaux.

GrowCanada est l’événement agricole par excellence au Canada. Vous pourrez rencontrer les leaders de l’industrie à travers le pays, explorer des perspectives novatrices et contribuer au renforcement du secteur agricole canadien. Consultez le programme 2024 ici.

GrowCanada aura lieu du 3 au 5 décembre 2024 au Westin à Ottawa. Inscrivez-vous avant le 1er novembre 2024 pour profiter du tarif préférentiel.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des commerçants de grains du Québec et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du blé d’automne, du blé de printemps, du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison.

Bilan du 7 novembre 2024 >
Bilan du 1er novembre 2024 >
Bilan du 25 octobre 2024 >
Bilan du 18 octobre 2024 >
Bilan du 11 octobre 2024 >
Bilan du 4 octobre 2024 >
Bilan du 27 septembre 2024 >
Bilan du 20 septembre 2024 >
Bilan du 13 septembre 2024 >
Bilan du 6 septembre 2024 >
Bilan du 30 août 2024 >
Bilan du 23 août 2024 >
Bilan du 16 août 2024 >
Bilan du 9 août 2024 >
Bilan du 2 août 2024 >
Bilan du 26 juillet 2024 >
Bilan du 19 juillet 2024 >
Bilan du 12 juillet 2024 >
Bilan du 5 juillet 2024 >
Bilan du 28 juin 2024 >
Bilan du 21 juin 2024 >
Bilan du 14 juin 2024 >
Bilan du 7 juin 2024 >
Bilan du 31 mai 2024 >
Bilan du 24 mai 2024 >
Bilan du 17 mai 2024 >
Bilan du 10 mai 2024 >

Dans le cadre de ses engagements pour l’atteinte des objectifs du PAD, les Producteurs de grains du Québec (PGQ) en collaboration avec l’Institut de Technologie Agroalimentaire du Québec (ITAQ) offrent une formation continue en format hybride sur la gestion 4B dans 4 régions de la province. Une partie des coûts d’inscription à la formation est prise en charge par le projet* pour les 60 premiers producteurs membre des PGQ inscrits. La formation est reconnue pour une rétribution par le PAD.

Inscription avant le 20 décembre 2024.

Nous vous invitons à transmettre cette information aux producteurs avec lesquels vous collaborer, afin de contribuer à la formation de ces derniers et à l’application des principes 4B dans les champs du Québec.

* Un montant de 100$ sera pris en charge pour les 60 premiers inscrits (coût régulier de la formation : 250$). Le projet « Formation sur la gestion 4B des nutriments dans l’utilisation des fertilisants » est financé par le Programme Prime-Vert du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec et s’inscrit dans la mise en œuvre du Plan d’agriculture durable (PAD).

Vous êtes conseillère ou conseiller et vous souhaitez accompagner vos productrices et producteurs de grains dans l’adoption des bonnes pratiques de gestion des nutriments selon le principe des 4B (bon produit, bonne dose, bon moment, bon endroit)?

Les Producteurs de grains du Québec (PGQ) sont à la recherche de conseillers(ères) comme vous pour implanter des sites d’essai et de démonstration 4B à la ferme cet été.

Si vous êtes intéressé(e), veuillez consulter les détails en cliquant le bouton ci-bas.

Suivant l’annonce du départ de M. Benoit Pharand à titre de président-directeur général, le conseil d’administration s’est réuni afin de discuter des meilleures avenues pour assurer la suite des opérations de Réseau végétal Québec.

À la suite de cette réflexion, nous sommes heureux de vous annoncer la nomination de M. Jean-François Patenaude à titre de directeur des opérations, lui qui occupait le poste de gestionnaire de projets depuis le 14 novembre 2023.

Depuis son entrée en poste, M. Patenaude a démontré une grande capacité à comprendre les enjeux de l’association et à contribuer positivement à l’avancement des dossiers en cours. Il pourra bien sûr compter sur le soutien de tous les administrateurs du conseil afin d’assurer une transition efficace au cours des mois à venir.

Nous souhaitons donc à M. Patenaude le meilleur des succès dans ses nouvelles fonctions.

En parallèle, nous poursuivrons la réflexion quant au poste vacant à la direction générale et nous nous assurerons de vous informer des décisions qui seront prises.

Le 22 mars dernier s’est tenu la traditionnelle activité Cabane à sucre de Réseau végétal Québec au Mouton Village où plus d’une cinquantaine de personnes ont pu assister à trois conférences sur des enjeux du secteur et déguster un délicieux repas.

Accédez aux PDF des présentations

Pesticides : Mise à jour sur la politique canadienne et européenne

Émilie Bergeron
Vice-présidente, chimie
CropLife Canada

Les enjeux écologiques en agriculture vus par la science

Essi Parent, ing.
Ingénieur en écologie, consultant en intelligence artificielle et professeur associé
Département des sols et du génie agroalimentaire de l’Université Laval

Évolution du climat en Montérégie et impacts sur les ravageurs

Caroline Charron, biologiste B. Sc.
Conseillère à l’aménagement | Direction aménagement du territoire et développement régional
Union des producteurs agricoles

Dans le cadre du Rendez-vous végétal 2024, deux nouvelles capsules de la série « Les bons coups au champ » ont été présentées aux participants de l’événement.

Depuis maintenant 5 ans, ces courtes vidéos mettent la lumière sur des producteurs et productrices agricoles du Québec. Une excellente façon de démontrer que notre secteur est en évolution constante.

Rencontrez David et Julie, des producteurs de porcs et de grandes cultures à Ste-Christine. Pour conserver une bonne santé de leurs sols, ces derniers font preuve de beaucoup d’ingéniosité, ils n’hésitent pas à bonifier leurs pratiques et modifier leurs outils. Des gens très inspirants!

Faites également la connaissance d’Yvon, producteur de grandes cultures, mais aussi de légumes de conserverie, à St-Guillaume. Ce dernier ne se cache pas pour clamer son amour de nos produits du Québec, qui sont cultivés avec soin.

Soyez des promoteurs de notre secteur

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, nous vous invitons à partager les capsules dans vos réseaux sociaux pour faire connaître ces pratiques culturales ainsi que la proactivité des producteurs du Québec.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des commerçants de grains du Québec et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison.

Bilan du 23 novembre 2023 >
Bilan du 16 novembre 2023 >
Bilan du 9 novembre 2023 >
Bilan du 2 novembre 2023 >
Bilan du 26 octobre 2023 >
Bilan du 19 octobre 2023 >
Bilan du 12 octobre 2023 >
Bilan du 5 octobre 2023 >
Bilan du 28 septembre 2023 >
Bilan du 21 septembre 2023 >
Bilan du 14 septembre 2023 >
Bilan du 7 septembre 2023 >
Bilan du 31 août 2023 >
Bilan du 24 août 2023 >
Bilan du 17 août 2023 >

Bilan du 10 août 2023 >
Bilan du 3 août 2023 >
Bilan du 27 juillet 2023 >
Bilan du 20 juillet 2023 >
Bilan du 13 juillet 2023 >
Bilan du 6 juillet 2023 >
Bilan du 29 juin 2023 >
Bilan du 22 juin 2023 >
Bilan du 15 juin 2023 >
Bilan du 8 juin 2023 >

Bilan du 1er juin 2023 >
Bilan du 25 mai 2023 >

Bilan du 18 mai 2023 >
Bilan du 11 mai 2023 >
Bilan du 4 mai 2023 >

Réseau végétal Québec a tenu le vendredi 22 septembre son assemblée générale annuelle. À cette occasion, le conseil d’administration 2023-2024 a été créé.

M. Martin Lanouette de l’entreprise Syngenta Canada a été élu par acclamation afin de pourvoir le siège no. 10, réservé à un membre B. Nous lui souhaitons la bienvenue au conseil d’administration!

MM Abderrezak Khedim et Philip Bernier ont été, quant à eux, reconduit dans leurs fonctions.

Nous remercions M. Patrice Lévesque, administrateur sortant, qui siégeait sur le conseil d’administration depuis 2021.

Élection – Officiers

À la suite de l’assemblée générale annuelle, le conseil s’est réuni, et les officiers suivants ont été élus :

Président – M. Sylvain Lavoie, agr., MBA
Vice-président – M. Stéphane Beaucage
Secrétaire – Trésorier – M. Charles Gauvin, agr.

Conseil d’administration 2023-2024

Le jeudi 21 septembre, Réseau végétal Québec a reconnu l’implication remarquable de M. Gaétan Desroches, agr., MBA, au sein du secteur et l’a nommé membre honoraire de l’association.

Sur la photo : Casper Kaastra, Benoit Pharand, Gaétan Desroches, France Bédard (sa conjointe) et Sylvain Lavoie

Toutes nos félicitations à M. Desroches!

La Politique alimentaire du Canada repose sur la mobilisation à grande échelle de nombreux intervenants, sous le thème unificateur « Tout le monde à table! ». Les principes de l’inclusion et de la diversité, de la réconciliation, de la collaboration, de l’innovation, de la durabilité, ainsi que les données probantes et la responsabilisation, ont orienté le processus de mobilisation et l’élaboration de cette politique. Les mêmes principes ont jeté les bases de l’engagement du Canada lors du Sommet sur les systèmes alimentaires de l’ONU (SSA de l’ONU).

Le Document sur les démarches nationales du Canada, résumant les mesures prises dans nos systèmes alimentaires pour soutenir les 17 objectifs de développement durable des Nations Unies et la Politique alimentaire pour le Canada, a été soumis aux Nations Unies.

Vous pouvez en prendre connaissance directement sur le site web d’Agriculture et Agroalimentaire Canada.

Faisant suite à l’annonce du gouvernement du Canada en juin dernier sur la gestion responsable des pesticides partout au pays, Santé Canada a produit un document infographique concernant les limites maximales de résidus (LMR) sur les aliments.

Nous vous invitons à en prendre connaissance.

Voici également une image provenant d’Agriculture et Agroalimentaire Canada sur les LMR.

Réseau végétal Québec accueille favorablement les nouvelles directives de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) concernant l’innovation en matière de sélection végétale. La mise à jour des politiques réglementaires pour l’évaluation préalable à la mise en marché des innovations en sélection végétale au Canada stimulera la productivité des entreprises agricoles d’ici, tout en permettant une meilleure adaptation et résilience face aux défis que représentent les changements climatiques et l’autonomie alimentaire.

Les innovations en sélection végétale, dont l’édition génomique, permettent une amélioration rapide et précise des caractéristiques des plantes, offrant ainsi la possibilité de réduire l’utilisation de ressources nécessaires à la production comme l’eau et d’autres intrants. Elle permet également d’optimiser et d’accroître la productivité et la résistance des cultures face aux intempéries et aux ravageurs, ce qui contribue à une agriculture plus durable et résiliente aux changements climatiques.

« Nous sommes ravis de voir le gouvernement du Canada s’appuyer sur la science et sur un processus décisionnel factuel. Il reconnaît, comme d’autres juridictions le font ailleurs, le bien fondé d’adopter des politiques en concordance avec la science qui permettent une agriculture innovante, productive, compétitive et durable », souligne Benoît Pharand, président-directeur général de Réseau végétal Québec. Les principes édictés par l’ACIA font consensus un peu partout dans le monde, notamment aux États-Unis, en Australie, en Argentine, etc.

Les nouvelles orientations s’appuient sur le travail rigoureux du gouvernement du Canada, incluant un avis scientifique sur la réglementation des produits végétaux issus de l’édition génomique. Elles sont aussi le fruit d’un long processus de consultation, auquel a notamment participé certains membres de RVQ. « Nos membres, qui sont des leaders du secteur végétal, ont toujours eu à cœur de contribuer positivement aux discussions, aux réflexions et à la recherche de solutions propres aux enjeux contemporains auxquels fait face le milieu agricole », soutient Benoît Pharand.

Les membres de RVQ sont prêts à mettre en œuvre les mesures de transparence pour les produits issus de l’innovation en matière de sélection végétale également annoncées par le gouvernement. Ils y voient une occasion de renforcer la confiance du public envers les intrants en production végétale. Pour ce faire, les membres de RVQ pourront, par exemple, enrichir la base de données de Semences Canada sur la transparence liée aux variétés canadiennes. Les membres réitèrent ainsi leur engagement envers la transmission d’informations justes, complètes, fondées et validées.

Les nouvelles orientations de l’ACIA sur l’innovation en sélection végétale s’inscrivent dans la vision de Réseau végétal Québec et contribuent à reconnaître l’expertise technique et scientifique des sélectionneurs de végétaux et leur contribution à une agriculture québécoise productive et durable.

Pour mieux comprendre l’édition génomique

L’État des cultures est à la recherche de participants – producteurs, conseillers, intervenants – pour son rapport hebdomadaire. En quelques clics avec votre téléphone intelligent sur l’application mobile, vous êtes invités à partager l’état des cultures dans votre région. Les données sont ensuite analysées et publiées par l’agronome Jean-Philippe Boucher sur les sites Web Grainwiz et le Bulletin des agriculteurs. Comparez vos observations et contribuez à une diffusion d’informations fiables en participant vous aussi.

La ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada et le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec annoncent la signature d’une entente bilatérale dans le cadre du nouveau Partenariat canadien pour une agriculture durable (PCA durable). Cette entente est assortie d’un investissement conjoint des gouvernements du Canada et du Québec estimé à 955 M$ dans le secteur agroalimentaire québécois au cours des cinq prochaines années.

Ce partenariat contribuera à l’atteinte des cibles, objectifs et indicateurs établis par le Québec dans le cadre de ses plans et stratégies pour le secteur bioalimentaire. Il établit également les paramètres des programmes pancanadiens de gestion des risques de l’entreprise (GRE) que sont Agri-investissement, Agri-stabilité, Agri-protection et Agri-relance, de façon qu’ils soient plus opportuns, plus équitables et plus simples.

Pour obtenir plus d’information : Partenariat canadien pour une agriculture durable

Les entreprises de vente de produits phytosanitaires sont invitées à participer à une courte présentation de 30 minutes pour discuter d’un nouvel outil de sensibilisation concernant les bonnes pratiques de manipulation des produits.

Cette présentation aura lieu le jeudi 30 mars 2023 de 10 h 30 à 11 h. Pour participer, veuillez suivre ce lien TEAM

Vous pouvez voir l’outil en question en cliquant le bouton ci-dessous.

Dans le cahier spécial de La Terre de chez nous sur la fertilisation, il y a un article signé par Mme Sylvie Lemieux sur l’implantation de la méthode de Gestion des nutriments 4B au Québec.

Nous vous invitons à le lire.

Pour en savoir plus sur la Gestion des nutriments 4B et sur les différentes formations présentées à ce jour, visitez le site web.

Le 9 mars dernier, les membres de Réseau végétal Québec ont été invités à assister à une courte rencontre virtuelle avec Mesdames Christine Lajeunesse et Kim Timmer, de l’organisme AgriRÉCUP, qui ont présenté le formulaire « Renseignements et avis d’intention » et ont expliqué comment le compléter.

Il est possible d’accéder à l’enregistrement de cette rencontre en cliquant le bouton ci-dessous.

Sous-catégories de produits agricoles concernées

1. les films, les filets et les ficelles, les tubes et leurs embouts, les sacs et les toiles servant à la conservation ou à l’enrubannage de l’ensilage ou du foin;

2.  les autres sacs conçus et destinés pour un usage agricole, notamment les sacs et les sacs-silos à grains, les sacs de copeaux communément appelés «ripes», les sacs de suppléments, de minéraux, d’engrais ou d’amendements de sols, les sacs de semences, de moulée, de mousse de tourbe, de substrats de culture ainsi que les sacs ayant servi à mettre sur le marché un produit visé au paragraphe 7;

3. les contenants conçus et destinés pour un usage agricole, notamment les bidons, les réservoirs et les barils de semences ou de produits sanitaires, les contenants d’engrais ou d’amendements de sols et les contenants ayant servi à mettre sur le marché un produit visé au paragraphe 7;

4. les paillis de plastique, les plastiques utilisés pour le recouvrement de tunnels ainsi que les plastiques utilisés dans les systèmes d’irrigation goutte à goutte;

5. les bâches ou les couvertures flottantes, les plastiques utilisés pour le recouvrement de serres, les filets anti-insectes et anti-oiseaux, les couvertures pour fosses à lisier, les tapis d’irrigation ainsi que les tapis de sol;

6. les plastiques acéricoles tels que les tubulures, les conduits de la ligne principale, les raccords et les chalumeaux;

7. les pesticides de classe 1 à 3A selon le Règlement sur les permis et les certificats pour la vente et l’utilisation des pesticides (chapitre P-9.3, r. 2) et les semences enrobés de pesticides destinés à un usage autre que domestique.

Compléter le formulaire

Lorsque le formulaire est dûment rempli, simplement l’envoyer aux 2 adresses de courriels suivantes : REP@recyc-quebec.gouv.qc.ca et timmerk@cleanfarms.ca

Voici le lien vers le formulaire RENSEIGNEMENT ET AVIS D’INTENTION (préremplis associé au secteur végétal)

Depuis le 6 mars, les demandes pour les programmes fédéraux du Partenariat canadien pour une agriculture durable (PAC durable) sont acceptées. Le partenariat entrera en vigueur le 1er avril prochain et représente un investissement record de 3,5 milliards de dollars provenant des gouvernements provinciaux, territoriaux et du gouvernement fédéral.

Les programmes fédéraux concernés sont actuellement déployés dans le cadre du Partenariat canadien pour l’agriculture et sont renouvelés pour cinq ans afin d’appuyer des domaines prioritaires clés, notamment :

  • renforcer la capacité de croissance du secteur en se concentrant sur les avancées technologiques, en attirant une nouvelle génération de producteurs agricoles et en développant une main-d’œuvre plus diversifiée et inclusive;
  • accélérer la recherche et l’adoption d’innovations dans le secteur de l’agriculture primaire et celui de la transformation à valeur ajoutée;
  • promouvoir des actions mesurables pour le climat et l’environnement, y compris une réduction des émissions de gaz à effet de serre de trois à cinq mégatonnes;
  • élargir les marchés pour les exportations canadiennes au moyen du développement des affaires et de la promotion du commerce à l’échelle mondiale en s’appuyant sur une chaîne d’approvisionnement plus solide et résiliente, dans le but de faire passer les exportations à 95 milliards de dollars et les ventes globales de l’industrie à 250 milliards de dollars d’ici 2028;
  • accroître la confiance dans le secteur en améliorant et en élaborant des systèmes d’assurance de la qualité et de la salubrité.

Programmes concernés

 Agri-science :

  • Ses 2 volets représentent 324,77 M$ sur 5 ans.
  • Vise à accélérer le rythme de l’innovation en finançant et en soutenant les activités et la recherche scientifiques avant l’étape de la commercialisation.

         Volet Projets – Agri-science : projets

  • Les demandes seront acceptées jusqu’à ce que l’intégralité des fonds ait été affectée ou qu’une annonce contraire soit publiée. Le programme prend fin le 31 mars 2028.
  • Soutient un projet unique ou un ensemble plus restreint de projets qui sont moins détaillés qu’une grappe agroscientifique.
  • Admissibilité : Organisme à but lucratif ou sans but lucratif et autres critères – Programme Agri-science – projets : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca
  • 3 domaines prioritaires : (À noter que les propositions devront inclure des activités qui traitent des questions environnementales. Contrairement au volet des grappes du programme Agri-science, il n’y aura pas d’objectif minimal pour ces dépenses; toutefois, les propositions pour lesquelles l’investissement dans la recherche environnementale est nul ou limité seront jugées peu prioritaires) :
    • Changements climatiques et environnement
    • Croissance et développement économiques
    • Résilience du secteur et défis sociétaux

          Volet Grappes : Agri-science : grappes;

  • Période de réception des demandes : fermée
  • Soutient les projets qui ont comme objectif de mobiliser l’industrie, le gouvernement et le milieu universitaire par l’intermédiaire de partenariats, et d’aborder les thèmes nationaux prioritaires et les questions d’intérêt général.

 Agri-innoverAgri-innover

  • Représente 95,4 M$ sur 5 ans
  • Vise à encourager la commercialisation, la démonstration et/ou l’adoption ciblées de technologies et de processus innovateurs qui augmentent la compétitivité du secteur agricole et agroalimentaire et les avantages en termes de durabilité.
  • Les demandes seront acceptées sur une base continue jusqu’à la fin du programme le 31 mars 2028, ou jusqu’à ce que tous les fonds aient été entièrement attribués, à moins d’annonce contraire. Tous les projets doivent être terminés avant le 31 mars 2028 au plus tard.
  • Admissibilité : Organisme à but lucratif constitué en société au Canada – Programme Agri-innover : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca
  • Accordera aux entreprises à but lucratif des contributions sur une base remboursable.
  • Les activités admissibles sont de la nature et du type suivants :
    • Commercialisation de technologies ou de procédés agricoles innovateurs
    • Démonstration de technologies ou de procédés agricoles, agroalimentaires ou agro-industriels innovateurs, pour lesquels tous les tests et les essais pilotes nécessaires ont été réalisés et l’innovation est prête à être commercialisée. La phase de démonstration doit impliquer un ou plusieurs des éléments suivants :
      • Production d’échantillons pour la validation du marché;
      • Création d’un site de référence ou de présentation pour des démonstrations préalables à la commercialisation.
    • Adoption et modification importante de technologies ou de processus innovateurs prêts à être commercialisés en fonction des opérations agricoles et agroalimentaires du demandeur.

Agri-marketing – Agri-marketing

  • Représente 129,97 M$ sur 5 ans.
  • Aider les secteurs nationaux de l’agriculture à accroître et à diversifier les exportations vers les marchés internationaux, et à saisir les débouchés sur le marché intérieur.
  • Vise aussi à augmenter et à diversifier les exportations vers les marchés où le Canada a conclu des accords de libre-échange
  • Les demandes seront acceptées du 6 mars 2023 au 30 septembre 2027. Toutefois, la période de réception des demandes pourrait se terminer plus tôt si le financement a été entièrement engagé ou qu’une annonce contraire soit publiée.
  • Admissibilité : Organisme sans but lucratif ou organisme autochtone et autres critères, incluant la capacité de réaliser un projet qui a une portée nationale, qui touche l’ensemble du secteur agricole et agroalimentaire : Programme Agri-marketing : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca

Programme Agri-assurance

  • Ses 2 volets représentent 64,05 M$ sur 5 ans
  • Vise à favoriser la confiance des consommateurs en aidant le secteur à élaborer et à adopter des systèmes, des normes et des outils permettant de formuler des allégations crédibles, pertinentes et vérifiables sur la santé, la salubrité et la qualité des produits agricoles et agroalimentaires canadiens et sur la manière dont ils sont produits ou fabriqués

          Volet Associations nationales de l’industrie Agri-assurance : Volet associations nationales de l’industrie

  • Offre un financement aux associations nationales de l’industrie pour créer ou améliorer les systèmes d’assurance qui permettent à leur secteur à gérer les risques ou d’assurera salubrité et la qualité des produits.
  • Les demandes seront acceptées du 6 mars 2023 au 30 septembre 2027; toutefois, la période de réception des demandes pourrait se terminer plus tôt si l’intégralité des fonds a été affectée ou si une annonce contraire est publiée. Le programme prend fin le 31 mars 2028.
  • Admissibilité : Organisme sans but lucratif ou un organisme autochtone et autres critères incluant la démonstration de la capacité à réaliser un projet national ou un projet qui touche le secteur agricole et agroalimentaire : Programme Agri-assurance – Volet Associations nationales de l’industrie : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca

          Volet Petites et moyennes entreprises Agri-assurance : Volet petites et moyennes entreprises

  • Aide les entreprises à adopter des systèmes d’assurance et des outils de soutien leur permettant de formuler des allégations vérifiables en réponse aux exigences des marchés d’exportation ou des marchés intérieurs pour les autochtones.
  • Les demandes seront acceptées du 6 mars 2023 au 30 septembre 2027. Toutefois, la période de réception des demandes pourrait se terminer plus tôt si le financement a été entièrement engagé ou sauf annonce contraire. Le programme prend fin le 31 mars 2028.
  • Admissibilité : Organismes à but lucratif ou un organisme autochtone et autres critères : Programme Agri-assurance – Volet Petites et moyennes entreprises : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca

Agri-compétitivité – Agri-compétitivité

  • Représente 25,72 M$ sur 5 ans
  • Appuyer les activités que mène le secteur pour identifier ses pratiques exemplaires et renforcer ses capacités, pour améliorer la gestion des entreprises agricoles ainsi que les outils et l’information sur la sécurité à la ferme, et pour promouvoir la sensibilisation à l’agriculture.
  • Les demandes seront acceptées du 6 mars 2023 au 30 septembre 2027; toutefois, la période de demande peut se terminer plus tôt si le financement a été entièrement engagé ou si une annonce est faite.
  • Admissibilité : Organisme sans but lucratif ou organisme autochtone et autres critères (À noter que les associations régionales sans but lucratif peuvent être prises en considération si elles ne sont pas représentées au niveau national) Programme Agri-compétitivité : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca

Agri-diversité – Agri-diversité

  • Représente 5 M$ sur 5 ans
  • Appuyer les groupes sous-représentés et marginalisés (ex. autochtones, femmes, jeunes, personnes handicapées, personnes racialisées, minorités visibles, communautés 2SLGBTQI+, communautés de langue officielle en situation minoritaire) pour qu’ils puissent améliorer leurs compétences, assumer des rôles de leader dans le secteur et bâtir leur capacité entrepreneuriale et d’affaires.
  • Les demandes seront acceptées du 6 mars 2023 au 30 septembre 2027; toutefois, la période de demande peut se terminer plus tôt si le financement a été entièrement engagé ou si une annonce est faite.
  • Admissibilité : Organismes sans but lucratif, Organismes autochtones sans but lucratif, Établissements universitaires et autres critères. Programme Agri-diversité : Étape 2. Admissibilité – agriculture.canada.ca

Le 27 février, la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, l’honorable Marie-Claude Bibeau, a annoncé un investissement d’environ 13 millions de dollars pour améliorer le Programme d’emploi et de compétences des jeunes (PECJ) et contribuer au soutien de quelque 1 200 emplois pour les jeunes dans le secteur agricole.

Les employeurs peuvent présenter leur demande entre le 27 février et le 27 mars 2023 pour que leur projet soit pris en compte.

Exemples d’organisations qui œuvrent dans le domaine de l’agriculture
-Les agriculteurs
-Les entreprises agricoles, telles que les serres, les vergers, les vignobles ou les producteurs de légumes
-Les entreprises qui fournissent des produits ou des services agricoles
-Les transformateurs alimentaires
-Les organisations agricoles non gouvernementales

Voir ci-dessous le lien vers le programme pour plus de détails.
Programme d’emploi et de compétences des jeunes : Étape 1. Ce qu’offre ce programme – agriculture.canada.ca

RECYC-QUÉBEC et le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) ont présenté le 22 février dernier un webinaire en ligne concernant l’assujettissement des produits agricoles au Règlement sur la récupération et la valorisation de produits par les entreprises (RRVPE) qui encadre la responsabilité élargie des producteurs (REP) au Québec.

Vous trouverez la présentation en format PDF en suivant cet hyperlien.

L’enregistrement du webinaire est également disponible en cliquant le bouton suivant.

Le Projet d’omnibus réglementaire 2023 vise à apporter des ajustements pour faire suite aux modifications législatives introduites par le chapitre 8 des lois de 2022 ainsi qu’à modifier 24 règlements sous la responsabilité du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), dont le Code de gestion des pesticides et le Règlement sur les permis et les certificats pour la vente et l’utilisation des pesticides.

Une consultation publique sera en cours du 22 février au 8 avril 2023.
Toute personne ou organisation peut émettre des commentaires.

Thématique 1 : Vente et utilisation de pesticides

Résumé des modifications :

  • Assurer une meilleure protection de la santé des personnes :
    • Interdire la vente et l’utilisation des pesticides les plus à risque pour certains usages domestiques, institutionnels ou commerciaux;
    • Actualiser les règles relatives aux garderies et aux établissements scolaires;
    • Obliger les entreprises de gestion parasitaire à informer les occupants à la suite d’une application dans un bâtiment servant d’habitation.
  • Réduire l’utilisation systématique des semences enrobées de pesticides et prévenir les impacts dans les cours d’eau :
    • Élargir la justification agronomique à d’autres semences (insecticides et pas seulement les néonicotinoïdes);
    • Respecter des distances par rapport aux cours d’eau pour la mise en terre des semences visées.
  • Obtenir un meilleur portrait des ventes (déclaration des ventes au détail, y compris les semences enrobées).
  • Faciliter la lutte contre les espèces floristiques envahissantes.
  • Interdire la possession d’un pesticide contenant un ingrédient actif interdit.
  • Resserrer l’application de la réglementation en introduisant des sanctions administratives pécuniaires.

Transmettre des commentaires

L’utilisation du gabarit de transmission des commentaires est recommandée.

Les commentaires doivent parvenir à l’adresse
question.bslr@environnement.gouv.qc.ca au plus tard le 8 avril 2023.

Pour en savoir plus sur le projet d’omnibus règlementaire 2023, cliquez sur le bouton suivant.

Dans le cadre du Rendez-vous végétal 2023, deux nouvelles capsules de la série « Les bons coups au champ » ont été présentées aux participants de l’événement.

Pour une 4e année consécutive, ces courtes vidéos mettent la lumière sur des producteurs et productrices agricoles du Québec. Une excellente façon de démontrer que notre secteur est en évolution constante.

Les deux capsules de cette année avaient pour objectif de démystifier pour un large public certaines pratiques culturales, telles que la fertilisation azotée et l’utilisation d’engrais verts.

Soyez des promoteurs de notre secteur

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, nous vous invitons à partager les capsules dans vos réseaux sociaux pour faire connaître ces pratiques culturales ainsi que la proactivité des producteurs du Québec.

Il a été annoncé le 23 janvier par la vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, qu’à compter du 30 avril 2023, le dispositif de consignation électronique (DCE) sera obligatoire. Cette obligation fait suite à des modifications apportées au Règlement sur les heures de conduite et de repos des conducteurs de véhicules lourds.

Les exploitants de véhicules lourds devront donc munir leurs véhicules d’un DCE permettant de consigner leurs heures de travail et de repos.

Visitez le site de la Société de l’assurance automobile du Québec pour en savoir plus.

Le 16 janvier dernier se tenait à Saint-Hyacinthe l’activité Conférences et cocktail dînatoire de l’Association des commerçants de grains du Québec (ACGQ). Un excellent programme de conférences était présenté à plus de 175 intervenants et gestionnaires du secteur des grains. Parmi les conférenciers, notre président, M. Sylvain Lavoie, présentait le contexte géopolitique et son impact sur le marché des fertilisants en 2022.

Cette conférence a été très appréciée des participants. Voici d’ailleurs un article paru dans le magazine Grains découlant de cette présentation.

L’année qui vient de s’écouler, tout comme les précédentes, aura entraîné pour nous tous son lot de défis.

Malgré tout, Réseau végétal Québec a pu compter sur l’appui financier de ses entreprises membres pour présenter des événements en présentiel de qualité à partir du printemps dernier. La qualité et la pertinence des informations communiquées à l’aide de nos différents canaux (rapport annuel, portail web) est également resté une priorité pour nous.

Nous tenons donc à vous remercier tous pour cette contribution à l’association!

Au plaisir de collaborer avec vous en 2023.

À l’occasion de l’ouverture de la 43e législature de l’Assemblée nationale du Québec, le premier ministre François Legault a prononcé le discours inaugural le mercredi 30 novembre. Voici les éléments clés à retenir de ce discours.

Priorités du gouvernement

  • Éducation
  • Économie
  • Environnement
  • Santé
  • Identité et langue française

Agroalimentaire

  • Les investissements ont augmenté de 65% dans le bioalimentaire et e c’est primordial dans nos régions.
  • Le gouvernement va continuer d’appuyer les producteurs agricoles.
  • Le Québec a besoin d’agriculture durable et d’innovation dans ce secteur.

Environnement et lutte aux changements climatiques

Réduction des émissions de GES

  • La production de GES au Québec est de 19t éq. CO2 par habitant. C’est la moitié de ce qui est généré dans le reste du Canada. Nous sommes les premiers de classes en Amérique du Nord à cet égard.
  • Il ne faut pas cependant minimiser le problème : on veut ramener nos émissions de GES à 0, parmi les premiers au monde, sans être dogmatique.
  • Le Québec est le seul état, avec la Californie, qui est dans un marché du carbone. Cela nous permet d’aider nos voisins à réduire les émissions de GES dans une perspective globale.

Économie

Performance de l’économie et productivité des entreprises

  • Concernant l’écart de richesse avec l’Ontario, le premier ministre se réjouit que l’écart soit passé de 16.4% à 12.8% en 4 ans.
  • Il faut augmenter la productivité des entreprises afin de lutter contre la pénurie de main-d’œuvre.

Pénurie de main-d’œuvre

  • Tous les secteurs sont touchés par la pénurie de main-d’œuvre.
  • Il faudra travailler à l’augmentation des salaires dans les secteurs essentiels.
  • Il faut trouver le moyen d’attirer les personnes de 65 ans et plus. On annoncera des avantages via le régime des rentes du Québec.
  • La « requalification » des travailleurs sera une solution clé pour résoudre la problématique.

Développement régional

  • Nous devons revitaliser nos petites municipalités et nos villages, car près de 1100 municipalités sont en grande difficulté. Le gouvernement a une responsabilité pour assurer leur vitalité.
  • 5 000 emplois publics seront transférés en région.
  • Un travail est effectué avec les mairesses et les maires sur une nouvelle politique d’aménagement du territoire.

Le 22 et 23 septembre dernier s’est tenue le 66e Congrès et assemblée générale annuelle de l’association à la Cache du Lac Champlain.

Bonne nouvelle! L’Ordre des agronomes du Québec (OAQ) reconnaît 2 h 15 de formation continue pour les participants qui ont assisté aux conférences présentées le jeudi après-midi.

Sur le site de l’OAQ vous trouverez l’activité sous le nom : 66e Congrès annuel du RVQ (2022)

Le programme phare de gestion des emballages d’AgriRÉCUP, consistant à collecter les contenants vides (pesticides et fertilisants) en plastique pour les recycler, continue de gagner du terrain.

AgriRÉCUP a publié la semaine dernière les taux de récupération pour 2021. Ils démontrent que les agriculteurs canadiens ont rapporté 77 % des bidons vides de 23 L et moins. Le taux de récupération monte en flèche depuis 2011, où il était de 69 %. En 2019, il atteint 71 %, puis 76 % en 2020. Cette progression démontre que les producteurs participent activement à la bonne gestion des déchets générés par les exploitations agricoles.

De petites et de grandes entreprises en Amérique du Nord utilisent les plastiques récupérés dans le cadre des programmes d’AgriRÉCUP comme intrant. Une fois traités, ils deviennent des granules et des flocons de plastique recyclé. Ils prendront la forme de nouveaux produits comme des drains agricoles, des madriers pour la construction, des bordures de pelouse et des bâches utilisées en agriculture.

Pour en apprendre plus sur AgriRÉCUP et les différents programmes de recyclage offerts au Québec, visitez leur site web.

La catégorie « membres honoraires » a été créée afin de rendre hommage à des personnes qui se sont grandement impliquées au sein de Réseau végétal Québec et du secteur.

Dans le cadre de son 66e congrès annuel, l’association a tenu à reconnaitre la contribution de messieurs Jean-Luc Yelle, anciennement président directeur-général chez Agrocentre Fertibec St-Rémi ainsi que M. Marc Bouvry, anciennement directeur général chez William Houde Ltée et les a nominé à titre de membres honoraires.

Nous félicitons les deux hommes, mais surtout nous tenons à les remercier pour leur implication qui aura assurément laissé des marques.

Le 14 août 2022 avait lieu la première assemblée générale annuelle de l’Association québécoise des agronomes en fournitures d’intrants (AQAFI).  Lors de cette rencontre, les membres ont émis le souhait de transmettre une résolution qui sera déposée lors de l’assemblée générale annuelle de l’Ordre des agronomes du Québec le 13 octobre prochain.

Puisque les entreprises membres de Réseau végétal Québec sont des employeurs d’agronomes, que ces derniers sont visés par la modification de la Loi sur les agronomes et comme cette résolution les concerne, nous vous la présentons afin que vous puissiez en prendre connaissance.

Nous vous rappelons que l’AQAFI a été mise en place pour défendre les intérêts des agronomes qui travaillent dans le secteur des intrants. Accédez au formulaire d’adhésion>

À la suite de la 66e assemblée générale annuelle de l’association qui s’est tenue à La cache du Lac Champlain le vendredi 23 septembre, nous vous partageons le rapport annuel 2021-2022.

Bonne lecture!

Au terme de l’assemblée générale annuelle qui s’est tenue le vendredi 23 septembre, les membres de Réseau végétal Québec ont appris la constitution du conseil d’administration 2022-2023 de l’association.

Tous les membres du conseil dont le siège était en élection ont mentionné le désir de poursuivre leur mandat.

Le conseil d’administration 2022-2023 de Réseau végétal Québec est donc constitué des administrateurs suivants :

Les officiers nommés par le conseil sont :

  • Président – M. Sylvain Lavoie
  • Vice-président – M. Abderrezak Khedim

Ce sera un grand plaisir de collaborer avec tous les membres du conseil dans les prochains mois. Nous les remercions pour leur engagement.

AgriRÉCUP, l’organisation nationale qui récupère et recycle les contenants vides de pesticides et de fertilisants, annonce que plus de 1 500 sites de dépôt à travers le Canada ouvriront leurs portes le lundi 2 mai. Ils accepteront les contenants vides de pesticides et de fertilisants à usage unique.

Le programme de recyclage d’AgriRÉCUP permet d’éviter que ces contenants en plastique aboutissent dans les sites d’enfouissement et nuisent à l’environnement. C’est une matière première précieuse réintroduite sur le marché selon les principes de l’économie circulaire. Depuis le lancement du programme de recyclage des contenants en plastique agricoles, voilà 30 ans, les agriculteurs canadiens en ont rapporté plus de 143,6 millions pour les recycler.

Une fois recyclé, le plastique provenant des bidons de pesticides et de fertilisants prend la forme de produits utiles comme des drains agricoles et des sacs en plastique.

Les recherches d’AgriRÉCUP démontrent que les agriculteurs veulent des programmes de gestion des déchets agricoles. Ceux-ci contribuent à l’atteinte de leurs objectifs concernant la responsabilité environnementale. Ils veulent exploiter leurs entreprises de manière durable pour eux-mêmes, ainsi que pour les générations futures.

En plus des petits bidons mentionnés, AgriRÉCUP collecte aussi d’autres contenants utilisés en agriculture :

  • Un programme national de recyclage des grands réservoirs et barils en plastique non consignés, servant aussi à livrer pesticides et fertilisants ;
  • Des programmes de recyclage des sacs-silos à grains et de la ficelle ;
  • Un programme national de collecte et d’élimination adéquate des pesticides et des médicaments (non désirés ou périmés) pour bétail et pour chevaux ;
  • Un programme d’élimination des sacs de semences et de pesticides au Québec.

L’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) invite les intervenants et la population à transmettre leurs commentaires écrits sur le document de travail DIS2022-01, Renforcer davantage la protection de la santé humaine et de l’environnement : examen ciblée de la Loi sur les produits antiparasitaires.

L’ARLA travaille actuellement à l’avancement d’un programme de transformation qui inclut un certain nombre d’initiatives de transformation des programmes visant à renforcer davantage la protection de la santé humaine et environnementale par la modernisation des processus opérationnels pour l’examen des pesticides; améliorer la transparence et l’accès du public aux renseignements et aux données dans l’ensemble des processus de réglementation des pesticides et accroître l’emploi de données détaillées du monde réel sur la surveillance des eaux, la production agricole et l’utilisation des pesticides ainsi que des conseils scientifiques indépendants. Afin d’appuyer la mise en œuvre de ces initiatives de transformation, et en conformité avec les engagements du gouvernement, le présent examen ciblé des dispositions pertinentes de la Loi sur les produits antiparasitaires est entrepris.

Le but du document de travail est d’obtenir des réponses à des questions précises pour aider à orienter l’élaboration de changements législatifs potentiels ciblés à la Loi sur les produits antiparasitaires.

Pour transmettre vos commentaires

L’ARLA invite le public à présenter des commentaires écrits sur le document jusqu’à 60 jours après sa date de publication, soit le 20 mai 2022.

Ceux qui le souhaitent peuvent également participer à la consultation par le biais de l’initiative Advancing agriculture mise sur pied par CropLife Canada.

Santé Canada affichera les résultats de cette consultation sur son site Web.

Si vous avez des questions à ce sujet, veuillez communiquer avec le Service de renseignements sur la lutte antiparasitaire.

L’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité, le mardi 5 avril, le premier projet de loi omnibus en matière d’environnement. Il s’agit du projet de loi no 102 – Loi visant principalement à renforcer l’application des lois en matière d’environnement et de sécurité des barrages, à assurer une gestion responsable des pesticides et à mettre en œuvre certaines mesures du Plan pour une économie verte 2030 concernant les véhicules zéro émission.

La majorité des articles de la Loi visent à accroître et à renforcer les moyens de contrôle dont dispose le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) pour faire respecter les lois en matière de protection de l’environnement. Les mesures introduites pour moderniser la Loi sur les pesticides ont pour but de favoriser l’adoption de meilleures pratiques autant en milieu urbain qu’en milieu agricole.

Concertation Grain Québec (CGQ) vous invite à une réunion en visioconférence (TEAMS) pour vous présenter et échanger sur la feuille de route en production durable du secteur des grains.

Basée sur des priorités qui ont été établies de façon concertée, la feuille de route traduit la volonté du secteur de promouvoir l’adoption de pratiques d’agriculture durable afin de réduire l’impact environnemental du secteur agricole et de favoriser son acceptabilité sociale.  Cette démarche s’appuie sur les connaissances scientifiques et les meilleures pratiques agronomiques.

La mise en œuvre de la feuille de route est basée sur une coresponsabilité, une concertation et une collaboration de tous les acteurs de la filière des grains. Elle est une occasion pour les intervenants du secteur de renforcer notre cohésion et de soutenir davantage le développement durable du secteur des grains.

La réunion d’information sera d’environ 1 h 30, pour introduire la FEUILLE DE ROUTE et discuter des avantages et des collaborations à développer.

Date : 12 avril
Heure : 9 h à 10 h 30

Lors de la 14e édition du Rendez-vous végétal qui s’est tenue en format numérique en février dernier, trois nouvelles capsules de la série « Les Bons coups au champ » ont été présentées aux participants.

Ces courtes capsules vidéo produites depuis maintenant deux ans mettent la lumière sur des producteurs et productrices agricoles du Québec. Une excellente façon de démontrer que notre secteur fait de belles choses. Les capsules présentées en 2020 et 2021 ont été visionnées plus de 30 000 fois!

Ferme Delfland

Mont Atoca

Ferme Cristallina inc.

Soyez des promoteurs de notre secteur!

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, nous vous invitons à visionner les capsules et à les partager sur vos différents réseaux sociaux pour faire connaître la proactivité et la passion des producteurs et productrices du Québec.

Le 4 mars 2022, l’honorable Marie‑Claude Bibeau, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, a lancé une nouvelle ronde de consultations en débutant par la publication d’un document de discussion. Ces consultations porteront sur la façon d’atteindre la cible nationale du Canada en matière de réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre (GES) associés aux fertilisants, soit une diminution de 30 % par rapport à 2020 d’ici 2030. Le document de discussion est un élément clé des consultations avec l’industrie et aidera à atteindre cet objectif.

Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) a rencontré des groupes de producteurs et des partenaires provinciaux et territoriaux en 2021 pour discuter de la cible de réduction des émissions et entamer le dialogue sur la façon de travailler ensemble pour établir une approche réaliste. Les intervenants ont identifié d’importants défis et possibilités pour l’industrie, ce qui a mené à l’élaboration d’un document de discussion qui stimulera le dialogue et permettra de mieux comprendre la façon dont le Canada peut atteindre sa cible de réduction des émissions provenant des engrais azotés de 30 %. Le document de discussion sera accessible à des fins de commentaires jusqu’au 3 juin 2022.

Les émissions d’oxyde nitreux, en particulier celles associées à l’utilisation d’engrais azoté synthétique, ont augmenté de façon considérable. Voilà pourquoi le gouvernement du Canada a établi la cible nationale de réduction des émissions provenant des engrais, qui s’inscrit dans l’engagement de réduire les émissions de GES totales du pays de 40 % à 45 % d’ici 2030, comme il est prévu dans le Plan climatique renforcé du Canada et la Loi canadienne sur la responsabilité en matière de carboneutralité.

Le gouvernement est déterminé à atteindre cette cible de réduction des émissions grâce à une gamme de mesures stratégiques et d’approches, comme la collaboration avec les agriculteurs pour encourager l’adoption plus large de nouveaux produits et la mise en œuvre de pratiques de gestion bénéfiques, ce qui procure des avantages économiques aux producteurs et productrices agricoles et des avantages environnementaux pour la société. Un aspect important du parcours du Canada pour atteindre la cible sans compromettre le rendement des cultures nécessitera le soutien continu des intervenants de l’industrie.

Les initiatives dirigées par l’industrie, telles que le programme de la gestion des nutriments 4B de Fertilisants Canada (régie par Réseau végétal Québec pour la province de Québec), joueront également un rôle important pour promouvoir l’utilisation durable des fertilisants dans la production végétale et peuvent réduire les émissions de GES.

Au cours des prochains mois, AAC organisera des discussions virtuelles pour que les participants du Canada puissent poursuivre la conversation sur la cible de réduction des émissions. AAC consultera la population canadienne, y compris les producteurs, les transformateurs, les collectivités autochtones, les femmes en agriculture, les jeunes, les organisations environnementales, les petits secteurs émergents et d’autres intervenants et partenaires, pour déterminer la voie à suivre.

Concertation Grains Québec (CGQ) vous invite à participer à une réunion Zoom pour vous présenter son projet Évaluation des données dans le secteur des grains et échanger sur les collaborations possibles.

Le secteur agricole s’oriente de plus en plus vers une agriculture s’appuyant sur les technologies numériques afin de faire face aux défis d’aujourd’hui et de demain. Les données recueillies peuvent permettre le développement de modèles prévisionnels. Quelles sont les données disponibles, sont-elles compatibles? Peut-on les utiliser? Toutes ces questions sont des enjeux auxquels Concertation Grains Québec souhaite répondre. C’est donc dans ce contexte que l’organisation a développé le projet ci-haut mentionné et mandaté le CEROM pour en assurer sa réalisation.

Le projet est ambitieux et s’inscrit dans la volonté du secteur de promouvoir les pratiques d’agriculture durable et rentable. C’est également une occasion pour les intervenants du secteur de renforcer leur cohésion et soutenir davantage le développement du secteur.

Cette rencontre d’échange se tiendra le vendredi 11 mars 2022 de 13 h à 14 h 30.

Merci de confirmer votre présence à marlenethiboutot@concertationgrainsquebec.ca

Le cadre normatif transitoire de gestion des rives, du littoral et des zones inondables, mis en place par le gouvernement du Québec pour assurer la sécurité de la population face aux inondations et la protection des cours d’eau, entre en vigueur le 1er mars. Il remplace ainsi la Politique de protection des rives, du littoral et des plaines inondables. Il marque aussi le début de la transition vers une approche axée sur le risque, dans laquelle les interventions réalisées dans les rives, le littoral et les zones inondables seront régies en fonction de leurs impacts sur l’environnement et de la sécurité des personnes et des biens.

Des outils sont rendus disponibles sur Québec.ca à l’intention de celles et ceux qui veulent mieux comprendre les modifications apportées par l’entrée en vigueur du régime transitoire ainsi que leurs impacts. En effet, on trouve dans une même page Web, notamment, toute la réglementation afférente, l’analyse d’impact réglementaire, des aide-mémoire, un document explicatif ainsi qu’une présentation préenregistrée. Des formations pertinentes et des ateliers sont offerts et se poursuivront jusqu’au printemps 2022 avec les acteurs concernés, notamment les municipalités et le secteur agricole.

Faits saillants :

  • Le Règlement instaure un régime d’autorisation municipale uniforme pour les activités réalisées dans les zones inondables et les autres milieux hydriques. De plus, il encadre l’agriculture actuellement pratiquée dans le littoral des lacs et cours d’eau pour en limiter les impacts.
  • Il sera possible pour les citoyens résidant sur le territoire inondé en 2017 ou 2019 d’effectuer des rénovations ou encore des agrandissements sur leur propriété. Cela dit, de façon générale, les nouvelles constructions ne seront pas possibles sur le territoire concerné avant l’entrée en vigueur du cadre permanent.
  • Le Plan de protection du territoire face aux inondations : des solutions durables pour mieux protéger nos milieux de vie, rendu public le 3 avril 2020, prévoit 23 mesures et représente un investissement de plus de 479 M$. Il a pour objectif d’encadrer l’aménagement du territoire de façon durable afin d’améliorer la résilience des collectivités exposées aux inondations.

Liens connexes :

L’organisation du Rendez-vous végétal est fière de souligner le succès de sa 2e édition en formule numérique.

Le Rendez-vous végétal 2022 en quelques chiffres :

  • Plus de 500 participants inscrits
  • Plus de 300 personnes connectées à chacune de nos matinées de conférences
  • Plus de 23 000 visites sur le site web

Voyez ou revoyez les conférences

La totalité des conférences seront disponibles dès le 28 février!

Pour y accéder, vous devez :

  • Être inscrit à l’événement*
  • Vous rendre sur la page Programmation et cliquer sur le petit plus (+) vert de la conférence de votre choix
  • Vous connecter à la plateforme avec l’adresse courriel utilisée lors de l’inscription
  • Une fois sur la plateforme de diffusion, entrer le mot de passe noté au site web

* Les inscriptions demeureront ouvertes jusqu’à l’été!

Visitez notre Zone exposants virtuelle

Il est toujours temps de profiter des initiatives offertes par nos exposants dans leur espace kiosque.

De bons coups au champ à promouvoir

Nous vous invitons à visionner les capsules vidéos « Les bons coups au champ » présentées dans le cadre de notre événement.

Soyez un promoteur de notre secteur! Montrez autour de vous ce que nous faisons de bien en partageant ces vidéos sur vos médias sociaux.

Le Rendez-vous végétal, une activité de formation reconnue

L’Ordre des agronomes du Québec (OAQ) reconnaît un total de 6 heures (3 heures par matinée) de formation.

Merci à nos partenaires

Le Rendez-vous végétal de cette année n’aurait pu avoir lieu sans le soutien précieux de nos partenaires financiers. L’organisation tient à les remercier à nouveau pour leur appui.

Marie-Claude Bibeau, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, a annoncé le 22 février l’octroi d’un financement pouvant atteindre 182 millions $ à 12 organisations canadiennes qui distribueront le Fonds d’action à la ferme pour le climat.

Ce Fonds, créé dans le cadre du programme Solutions agricoles pour le climat, vise à aider les producteurs à adopter des pratiques de gestions bénéfiques visant à séquestrer le carbone et réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dans trois secteurs précis soit :

  • la culture de couverture : par exemple le paiement par acre, qui permettra de couvrir les coûts d’adoption ou les coûts connexes comme les semences et l’équipement. Les cultures de couverture sont des plantes, comme le trèfle ou la luzerne, qui sont plantées pour couvrir le sol plutôt qu’en vue d’être récolté;
  • la gestion de l’azote : par exemple, des services agronomiques destinés à élaborer des plans de gestion des éléments nutritifs propre aux exploitations, des modifications de l’équipement pour l’épandage d’engrais dans les champs ainsi que de l’échantillonnage et des analyses des sols;
  • le pâturage en rotation : par exemple, des services agronomiques permettant l’élaboration de plans de gestion des pâturages, des clôtures transversales intérieures, une infrastructure du système d’eau ainsi que des semences de légumes et des graines fourragères. Le pâturage en rotation est la pratique qui consiste à rassembler et à déplacer le bétail dans le pâturage en vue d’améliorer la santé du sol et de permettre aux plantes fourragères de reprendre de la vigueur et d’étendre leurs systèmes racinaires.

Les organisations suivantes redistribueront les fonds aux producteurs agricoles demandeurs :

  • L’Union des producteurs agricoles (UPA)
  • ALUS Canada
  • B.C. Investment Agriculture Foundation
  • L’Association canadienne pour les plantes fourragères
  • Le Conseil canadien du canola
  • ECOCERT Canada
  • La Manitoba Association of Watersheds
  • L’Association pour l’amélioration des sols et des cultures du Nouveau‑Brunswick
  • L’Association pour l’amélioration des sols et des cultures de l’Ontario
  • Perennia Food and Agriculture Inc.
  • La Prince Edward Island Federation of Agriculture
  • Results Driven Agriculture Research (RDAR)

Ces organisations bénéficiaires ont été sélectionnées à la suite de l’appel de propositions des projets qui a eu lieu en août dernier. Elles redistribueront les fonds par le biais de demandes individuelles. Le Fonds contribuera à éliminer les obstacles à l’adoption à plus grande échelle, y compris les coûts initiaux de mise en œuvre, le manque de protection contre les risques, le rendement du capital investi minime ou tardif et la disponibilité limitée de renseignements et de services agronomiques.

Le producteurs et productrices agricoles sont invités à utiliser l’outil Web du Fonds d’action à la ferme pour le climat en vue de déterminer quelle organisation bénéficiaire correspond le mieux à leur zone géographique et à leurs besoins.

La population canadienne s’attend à la transparence et à la pérennité du processus d’examen des pesticides et le gouvernement du Canada souhaite répondre à ces attentes.

Le 27 janvier dernier, l’honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Santé, a lancé officiellement un appel de candidatures en vue de créer un nouveau Comité consultatif scientifique sur les produits antiparasitaires au Canada.

Le Comité, créé par l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) prodiguera, au besoin, des conseils au gouvernement fédéral avant que celui-ci prenne certaines décisions s’appuyant sur des données probantes en ce qui a trait aux pesticides, notamment à leurs limites maximales de résidus (LMR). En outre, le rôle du Comité sera de fournir des conseils scientifiques sur des éléments à considérer, notamment :

  • des aspects techniques précis des évaluations des risques pour la santé humaine ou pour l’environnement effectuées par l’ARLA;
  • la valeur d’un pesticide pour la gestion d’un problème occasionné par un organisme nuisible pertinent au Canada;
  • des aspects techniques précis des options de gestion des risques liés aux pesticides.

Le Ministère est à la recherche de candidatures d’experts possédant des connaissances approfondies et une vaste expérience dans les domaines de l’utilisation de pesticides au Canada, du devenir et de la bioaccumulation dans l’environnement, de l’évaluation des risques pour la santé et de l’évaluation de la valeur des pesticides, notamment. Le Ministère sollicite également des candidatures pour constituer un registre d’experts qui aviseront le Comité de façon ponctuelle, selon la nature des questions à l’ordre du jour des réunions.

Les personnes intéressées peuvent présenter leur candidature en ligne jusqu’au 11 mars 2022. Le processus de sélection des candidats sera ouvert, transparent et fondé sur le mérite. Il privilégiera une représentation linguistique équilibrée, la parité entre les sexes et reflétera la diversité des communautés du Canada.

Faits en bref

  • L’appel de candidatures commencera le 27 janvier 2022 et se terminera le 11 mars 2022.
  • Le comité comptera de 5 à 8 membres principaux qui seront en pote 36 mois, avec possibilité de prolongation.
  • Le comité relèvera du directeur exécutif de l’ARLA.
  • Le comité fonctionnera indépendamment du Conseil consultatif de la lutte antiparasitaire (CCLA) qui existe déjà et qui offre des conseils généraux et non scientifiques au ministre de la Santé sur l’orientation stratégique, la gestion et les priorités globales de l’ARLA.
  • Pour accroître davantage la transparence et la pérennité de la gestion des pesticides au Canada, le gouvernement fédéral a annoncé le 4 août 2021 un investissement de 50 millions de dollars dans l’ARLA et la recherche sur la lutte antiparasitaire d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, qui sera appuyé par Environnement et Changement climatique Canada.

En route pour une 3e saison des cultures en mode pandémique!

À nouveau cette année, Réseau végétal Québec et les Producteurs de grains du Québec ont pris la décision de rédiger un communiqué conjoint s’adressant aux producteurs de grandes cultures.

Celui-ci mentionne que les entreprises membres de Réseau végétal Québec sont prêtes, malgré le contexte actuel qui perdure depuis maintenant presque deux ans, à fournir les intrants nécessaires, mais aussi à appuyer et conseiller les producteurs pour une saison 2022 réussie. L’accent est également mis sur l’importance de commander auprès des fournisseurs le plus tôt possible les intrants dont ils ont besoin en raison, entres autres, de la situation actuelle en ce qui à trait à l’approvisionnement et à leurs coûts.

Nous vous invitons à en prendre connaissance.

Nous vous invitons également à partager le communiqué dans vos réseaux dès maintenant.

Mise à jour 2022-01-17 : Des liens vers certaines webdiffusions sont maintenant disponibles (voir plus bas).

Le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) a récemment annoncé des changements au niveau des processus, notamment:

  • le dépôt des déclarations de conformité se fait maintenant en ligne;
  • depuis le 6 janvier, le service en ligne est aussi la seule porte d’entrée pour transmettre vos demandes d’autorisation ministérielle;
  • de nouveaux formulaires doivent dorénavant être utilisés pour les projets, selon les activités et impacts de celui-ci;
  • les demandes d’autorisation ministérielle doivent être recevable pour que l’analyse soit amorcée.

Le MELCC a organisé des webinaires pour présenter ces changements et répondre aux questions. Aucune inscription n’est requise, et les liens seront diffusés par le MELCC quelques jours avant la tenue du premier webinaire.

  • Survol des changements de l’automne : rediffusion du 25 novembre ou du 9 décembre
  • La recevabilité des demandes d’autorisation ministérielle : rediffusion du 2 décembre, 3 février (9h à 10h30), 17 mars (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion
  • La notion de « projet »:  rediffusion du 16 décembre, 27 janvier (9h à 10h30), 24 février (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion
  • Formulaires pour les demandes d’autorisation ministérielle : rediffusion du 8 décembre,  rediffusion du 13 janvier*, 10 février (9h à 10h30), 24 mars (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion
    • * Lancement de la période de consultation publique sur les formulaires
  • Service en ligne pour les autorisations ministérielles : 20 janvier (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion, 17 février (9h à 10h30), 31 mars (9h à 10h30)

Le gouvernement fédéral a rappelé hier qu’il exigera que tous les camionneurs en provenance des États-Unis entrant au Canada soient entièrement vaccinés contre la COVID-19 à compter du 15 janvier 2022.

Ainsi, les chauffeurs canadiens qui ne sont pas complètement vaccinés (2 doses d’un vaccin approuvé au Canada) devront se placer en quarantaine à leur arrivée au pays. Les camionneurs américains non vaccinés seront quant à eux refoulés à la frontière.

De plus, à compter du 22 janvier, les États-Unis cesseront d’accepter tous les voyageurs, incluant les camionneurs, qui n’ont pas reçu deux doses de vaccin.

Cette situation entraînera certainement de nouveaux défis logistiques et une pression sur les chaînes d’approvisionnement est à prévoir.

Dans le cadre du programme NovaScience, le ministère de l’Économie et de l’Innovation a lancé l’appel à projets «  Soutien à l’emploi en recherche et développement et Soutien à l’emploi pour la transformation numérique des entreprises ».

Cet appel à projets permettra d’offrir environ 200 subventions salariales pouvant aller jusqu’à 30 000 $ pour l’embauche de diplômés récents afin de soutenir les PME qui veulent développer des projets en recherche et développement ou qui souhaitent accélérer leur transformation numérique.

La date limite de dépôt des demandes de subvention est le 23 janvier 2022.

Pour en savoir plus ou faire une demande, cliquez sur le bouton suivant :

Nous avons appris cette semaine la nomination de Me François Houle à titre de directeur général et secrétaire de l’Ordre des agronomes du Québec. Nous souhaitons à la bienvenue à Me Houle et en profitons également pour souhaiter une bonne retraite à Me Louise Richard qui occupait le poste depuis de nombreuses années.

Lire le communiqué

L’Ordre des agronomes du Québec (OAQ) et l’Ordre des technologues professionnels du Québec (OTPQ) ont également annoncé avoir repris leurs discussions et relancer les travaux devant mener à la rédaction d’un règlement sur les activités professionnelles pouvant être exercées par un technologue professionnel.  Une première rencontre est prévue à la fin du mois de janvier 2022.

Rappelons que les travaux prévus découlent d’une entente de principe signée en 2019 par les deux ordres dans le but de préciser les relations, les rôles et les responsabilités entre les agronomes et les technologues professionnels en agroalimentaire.

Présentés en ligne par des professionnels du secteur et abordant des thèmes variés, les webinaires se tiendront en décembre, janvier et février.

Pour en savoir plus et vous inscrire, visitez le site web du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

En savoir plus

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

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À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

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Le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques annonce dans la Gazette officielle du Québec du 13 octobre que Le Règlement sur la récupération et la valorisation de produits par les entreprises (RRVPE) est en cours de révision.

Le projet de règlement prévoit modifier le RRVPE afin de régler certains irritants rencontrés dans sa mise en œuvre, en plus de répondre aux enjeux soulevés par les intervenants concernés, tels que l’encadrement des ventes en ligne hors-Québec, la présence des réseaux parallèles de récupération et l’atteinte des taux minimaux de récupération. Il propose aussi d’étendre la responsabilité élargie des producteurs aux produits agricoles.

Dans ce cas-ci, les produits agricoles réfèrent aux pesticides, aux fertilisants, aux engrais et aux médicaments pour animaux d’élevage ainsi qu’aux différents types de plastiques utilisés en agriculture. Lorsque ces produits seront ajoutés au règlement, les fabricants auront un délai d’un an pour mettre en place des programmes de récupération et de valorisation sur une base individuelle ou en se joignant à un organisme reconnu par RECYC-QUÉBEC pour gérer un programme en leur nom.

Participez à la consultation publique
Une consultation publique aura lieu jusqu’au 26 novembre 2021.

Voici les documents pour la consultation :

Pour transmettre des commentaires au sujet de ce projet de règlement, écrivez à Mme Geneviève Rodrigue, directrice adjointe du 3RV-E, au plus tard le 26 novembre 2021, aux coordonnées suivantes :
Courrier électronique : genevieve.rodrigue@environnement.gouv.qc.ca
Téléphone : 418 455-1569
Courrier postal :
Direction adjointe du 3RVE-E
Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
Édifice Marie-Guyart
675, boulevard René-Lévesque Est, 9e étage
Québec (Québec) G1R 5V7

Pour obtenir des renseignements additionnels, adressez-vous à M. Nicolas Boisselle par courrier électronique à nicolas.boisselle@environnement.gouv.qc.ca ou par téléphone au 418 521-3950, poste 7090.

Le 22 septembre dernier s’est tenue l’activité 65e Assemblée générale annuelle et conférences numérique.

Bonne nouvelle! L’Ordre des agronomes du Québec (OAQ) reconnaît 2 h de formation continue pour la portion conférences de l’activité.

Sur le site de l’OAQ, vous trouverez l’activité sous le nom : 65e Assemblée générale annuelle et conférences

Télécharger l’attestation de participation

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Le 27 octobre prochain, dans le cadre d’une assemblée générale extraordinaire, les membres de Réseau végétal Québec passeront au vote afin d’élire le nouveau conseil d’administration selon les Règlements présentés lors de l’assemblée générale annuelle en septembre dernier.

Il y a un poste vacant parmi la catégorie des membres B ainsi que parmi les membres associés. Tous les administrateurs de la catégorie membres A ont sollicité un nouveau mandat.

Vous avez envie de vous impliquer au sein de votre association, consultez la Trousse de mise en candidature et son formulaire. La date limite pour soumettre votre candidature est le vendredi 15 octobre 2021, à 16 h.

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Suite à la tenue de la 65e assemblée générale annuelle de l’association présentée en formule numérique le mercredi 22 septembre, nous vous partageons le rapport annuel 2020-2021.

Celui-ci est disponible uniquement sur la plateforme de Réseau végétal Québec, vous devez donc vous connecter pour y accéder.

Bonne lecture!

Le 22 septembre dernier s’est tenu la 65e assemblée générale annuelle de Réseau végétal Québec. Par la suite, des intervenants ont présenté les dossiers majeurs de l’association. Finalement, l’activité s’est terminée par la présentation de deux excellentes conférences.

D’ailleurs, les enregistrements des conférences sont maintenant disponibles. Nous vous invitons à les voir ou les revoir.

ACCÉDER AUX CONFÉRENCES

Nous profitons de l’occasion pour remercier encore une fois les partenaires financiers de l’activité pour leur appui.

Voyez la vidéo de notre partenaire Or Synagri.

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La Fédération canadienne de l’agriculture (FCA) a tenu son Débat national des dirigeants agricoles le 9 septembre. Des représentants des partis nationaux ont fourni des réponses aux questions qui touchent l’agriculture canadienne aujourd’hui.

Les participants au débat étaient les suivants :

Nouveau Parti démocratique du Canada (NPD) – le député Alistair MacGregor, porte-parole pour l’agriculture et l’agroalimentaire
Bloc Québécois – le député Yves Perron, porte-parole pour l’agriculture et d’agroalimentaire
Parti conservateur du Canada – le député Dave Epp
Parti libéral du Canada – l’honorable Marie-Claude Bibeau, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire

Voyez le débat!

Les intervenants ont présenté leur vision de l’avenir de l’agriculture canadienne et ont décrit la façon dont leurs partis traiteraient les problèmes actuels du secteur. Bien que les 4 partis soutiennent le secteur agricole canadien, ils ont des visions différentes quant à son avenir et quant à la façon de l’aider à réaliser son potentiel.

Les questions posées portaient sur trois domaines clés pour l’agriculture canadienne : la croissance économique, l’environnement et les changements climatiques, ainsi que les infrastructures. Les participants ont aussi abordé les programmes de gestion des risques, le soutien en cas de catastrophe, la gestion de l’offre, etc.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

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Fertilisants Canada organise un événement virtuel, « Fertilizer by the Numbers* », qui se tiendra le mercredi 15 septembre de 11 h à 13 h 30 HAE.

Le Canada continue de faire des progrès dans ses efforts pour se remettre de l’épidémie de COVID-19. À l’approche des élections fédérales, la relance économique du Canada à la suite de l’épidémie sera probablement en tête de liste des principaux enjeux électoraux, mais les politiques environnementales devraient également être au cœur de nombreux débats. En tant qu’industrie, nous savons que les politiques économiques et environnementales doivent aller de pair, mais que pensent les Canadiens de notre industrie et des politiques clés qui nous concernent ?

Joignez-vous à l’événement pour entendre Benjamin Tal, économiste en chef adjoint de CIBC Capital Markets, présenter ses perspectives sur l’avenir économique du Canada et examiner comment cela pourrait affecter les tendances du marché qui nous intéressent le plus. Il sera suivi de Bruce Anderson, président d’Abacus Data, qui présentera les derniers résultats de sondages sur ce que le public sait des fertilisants et de leur rôle dans la production alimentaire, ainsi que les compromis que le public est prêt à faire entre une offensive climatique majeure, le développement économique et la possibilité pour le Canada de devenir une superpuissance agricole.

*L’événement sera présenté en anglais uniquement.

INSCRIPTION

Réseau végétal Québec, les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants en céréales du Québec (ANCQ) et VIA Pôle d’expertise en services‑conseils agricoles sont fiers de vous inviter à l’édition 2021 de la Tournée des grandes cultures du Québec, coordonnée par Concertation grains Québec.

Inscrivez-vous dès maintenant!

Cette 8e édition aura lieu le 9 septembre 2021, de 9 h à 11 h, et se tiendra exceptionnellement sous forme de webinaire, compte tenu de la situation sanitaire actuelle.

Programme

  • Rétrospective de la saison de croissance 2021 – Gels tardifs au printemps, épisodes de sécheresse dans plusieurs régions, météo variable. Cynthia Lajoie, agronome pour Pioneer, nous présente les points marquants de la saison de croissance 2021.
  • La Tournée des grandes cultures en image – Suivez le travail des échantillonneurs vu par la caméra d’André Dumont, journaliste et vidéaste. Découvrez le travail de plus de 60 bénévoles qui ont parcouru des centaines de champs en Montérégie, au Centre-du-Québec et sur la Rive-Nord.
  • Résultats et estimations des rendements – Quelles ont été les répercussions des conditions de croissance sur l’état des cultures et sur les perspectives des rendements pour cet automne? Jean-Philippe Boucher, agronome spécialiste des marchés et fondateur de Grainwiz présente les résultats de plus de 400 observations de champs de maïs et de soya.
  • Naviguer en temps de pénurie et de prix record – Une guerre commerciale, une pandémie mondiale, des sécheresses, de l’inflation, une Chine affamée, des élections… Wô-minute, ça fait beaucoup… L’analyste de marché, Simon Briere de R.J. O’Brien & Associés Canada fait la lumière sur quoi retenir et comment se préparer face à cet avenir incertain.

Un rendez-vous à ne pas manquer!

Inscrivez-vous

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À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

Le processus de rétribution des pratiques agroenvironnementales est une mesure phare du Plan d’agriculture durable (PAD) annoncé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) au cours de l’automne 2020. L’objectif est de reconnaître les efforts des entreprises agricoles dans l’amélioration continue de leur bilan agroenvironnemental. Les travaux actuellement réalisés par le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture (CECPA) ont permis la détermination de principes directeurs et de pratiques spécifiques.

Pour ce faire, des chercheurs, des conseillers et d’autres experts dans les domaines de la phytoprotection, de la conservation et santé des sols et en biodiversité ont été mis à profit.

C’est maintenant au tour des productrices et des producteurs de participer aux différentes activités de consultation qui sont en cours actuellement, et ce, jusqu’à la fin août. La contribution passe, entre autres, par la participation anonyme et confidentielle à ce sondage :

Sondage

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En partie financé par Environnement et Changement climatique Canada, AgriRÉCUP a mené un projet de recherche pendant dix-huit mois visant à identifier les types et la quantité d’emballages et de produits en plastique utilisés dans le secteur agricole canadien.

Intitulée « Caractérisation et gestion des plastiques agricoles dans les fermes canadiennes », cette recherche présente des données précises qui contribueront à guider le secteur agricole dans son exploration sur la façon dont les emballages et les produits en plastique agricole peuvent alimenter l’économie circulaire émergente au Canada.

Consultez les résultats de l’étude

Quelques faits

  • La recherche évalue à près de 62 000 tonnes la quantité annuelle de produits et d’emballages de plastique utilisés par les agriculteurs canadiens. Plus de la moitié de cette quantité, environ 53 %, est générée dans les provinces des Prairies. L’Ontario et le Québec ajoutent 37 %. Enfin, la Colombie-Britannique et les Maritimes complètent le tout avec sept et trois pour cent respectivement.
  • Les grandes cultures (céréales et oléagineux) et les cultures pour le bétail (foin, fourrage) représentent 59 % de la quantité totale générée annuellement.

Recommandations émises suite à l’étude

Dans le rapport, AgriRÉCUP note qu’une stratégie nationale en plusieurs étapes est nécessaire pour permettre à l’industrie de récupérer davantage de plastiques qui peuvent être recyclés dans l’économie canadienne, notamment :

  • Une sensibilisation accrue des agriculteurs aux possibilités d’utiliser les programmes existants mis en place pour eux ;
  • La conception de meilleures pratiques de gestion par le biais de projets pilotes afin d’établir des procédures appropriées de préparation pour assurer la recyclabilité des plastiques récupérés. Cela permettra de passer des projets pilotes à des programmes permanents ;
  • La conception de technologies qui améliorent la qualité des matériaux collectés avant leur livraison aux marchés finaux ;
  • La conception et l’autorisation de processus qui incorporent les plastiques agricoles usagés dans la fabrication de nouveaux produits ;
  • Le soutien, le cas échéant, d’une politique basée sur la responsabilité élargie des producteurs. Cela permettrait de compter sur une source de financement stable afin de supporter les coûts des programmes et ceux du recyclage à long terme.

Pour en savoir plus sur AgriRÉCUP et les différents programmes de récupération offerts au Québec, nous vous invitons à visiter le site web de l’organisation.

Site Web AgriRÉCUP

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Depuis plus d’un an, la Coordination services-conseils gère un plan de lutte contre l’amarante tuberculée. Cette mauvaise herbe qui n’était pas présente il y a quelques années au Québec, commence à provoquer des dégâts et elle est souvent multirésistante.

Le plan est en fait une boîte à outils pour soutenir le producteur et son conseiller dans la confection et l’application d’une stratégie efficace pour éradiquer la mauvaise herbe. Le plan peut être déclenché par un producteur ou par un conseiller.

SVP lire le contenu des liens suivants pour plus d’information.

Voir l’article

Voyez la vidéo informative ci-dessous

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Comme nous le savons, les citoyens canadiens et plus particulièrement les agriculteurs subissent actuellement les impacts des changements climatiques. Qu’il s’agisse d’événements extrêmes (p. ex. : inondations, sécheresses, gels), il y a nécessité d’agir pour réduire les coûts de ces impacts et pour renforcer notre résilience.

Le ministre des Ressources naturelles et le ministre de l’Environnement et du Changement climatique ont annoncé le 28 juin la publication du document « Le Canada dans un climat en changement : Rapport sur les enjeux nationaux » – une perspective nationale sur l’impact qu’ont les changements climatiques sur notre environnement, notre économie et de nombreux aspects de notre vie quotidienne, de même que sur les moyens que nous prenons pour nous adapter à ces impacts.

Les conclusions principales du rapport montrent que les changements climatiques ont des impacts sur les infrastructures, la santé, la culture et l’économie de collectivités canadiennes de toutes tailles, représentant ainsi une menace pour les écosystèmes du Canada et les services essentiels qu’ils fournissent, notamment l’accès à l’eau douce. Comme ces impacts persisteront et s’intensifieront au fil du temps, il est urgent d’agir pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et accroître la résilience aux changements climatiques grâce à des mesures d’adaptation.

Puisque nous savons que les changements climatiques ont des impacts directs sur la météo, les sols et donc, la culture des champs, nous vous invitons à prendre connaissance de ce document.

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Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

Le 14 juin dernier, l’Union des producteurs agricoles a présenté un webinaire intitulé « Présentation du soutien agricole, des retombées économiques et de la confiance en l’avenir du secteur agroalimentaire », auquel M. Sébastien Lacroix, président-directeur général de l’association, a assisté.

Pendant le webinaire, l’UPA a présenté les informations de trois études réalisées par Coop Carbone et a dressé le portrait de la situation financière des entreprises agricoles du Québec.

La première étude de Coop Carbone portait sur les retombées économiques de l’industrie agroalimentaire québécoise. Celle-ci démontre que ce secteur a généré plus de 235 000 emplois temps complets (ETC) et un PIB d’environ 23 G$ en 2019, représentant environ 5 % des emplois et du PIB québécois. L’étude démontre également qu’entre 2017 et 2019, les retombées de l’industrie ont augmenté de façon significative et que sur le long terme, l’industrie agroalimentaire a enregistré une croissance beaucoup plus dynamique que celle de l’économie globale.

La seconde étude avait pour objectif de présenter les résultats d’une consultation des acteurs de l’agriculture et de la fabrication des aliments sur leur confiance en l’avenir. Pour la réalisation de celle-ci, Coop Carbone a interrogé 200 producteurs et productrices agricoles ainsi que 202 gestionnaires d’entreprise de fabrication d’aliments. Il en ressort que la confiance envers l’économie atteint un sommet et la confiance des répondants envers l’évolution de leur propre entreprise se maintient. Selon les répondants, les questions de rentabilité demeurent les enjeux prioritaires (prix des produits et des intrants). On constate également qu’une proportion croissante de répondants a rencontré des problèmes liés à la disponibilité de la main-d’œuvre et ceux-ci s’attendent à ce que cet enjeu perdure dans l’avenir.

La troisième étude portait sur l’évaluation et la comparaison du soutien agricole au Québec en 2019. On y constate que le Québec est la région où le soutien agricole a connu la plus importante diminution entre les périodes 2009-2014 et 2014-2019. Le soutien des prix, qui ne requiert aucun financement public, demeure la forme de soutien agricole la plus importante au Québec, en raison de la gestion de l’offre. Finalement, l’étude démontre que le Québec est l’un des endroits où les transferts budgétaires sont parmi les plus faibles proportionnellement à la valeur de la production agricole.

Pour clore le webinaire, un portrait de la situation financière des entreprises agricoles a été présenté. Celui-ci était essentiellement étayé par les données récentes publiées par Statistique Canada. Portant sur la période 2010-2020, on constate que les exportations agricoles sont à la hausse, tout comme les recettes monétaires (ventes) du secteur agricole. Malgré ces indicateurs positifs, le revenu net total du secteur a fait du surplace durant cette période alors que la dette totale des entreprises a plus que doublé. Ces données démontrent que les entreprises agricoles sont plus vulnérables aux risques et donc moins résilientes qu’il y a 10 ans.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

Le mercredi 16 juin, la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, l’honorable Marie-Claude Bibeau, a annoncé que le nouveau Programme des technologies propres en agriculture est maintenant ouvert aux candidats.

Ce nouveau programme permet aux agriculteurs et aux entreprises agricoles d’avoir accès à du financement pour les aider à développer des technologies propres et à adopter les plus récentes technologies propres afin de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) et d’améliorer leur compétitivité.

Le programme comporte deux volets de financement :

  • Le volet d’adoption appuiera l’achat et l’installation de technologies et de solutions propres éprouvées qui contribuent grandement à réduire les émissions de GES.
  • Le volet de recherche et d’innovation, soutiendra l’innovation préalable à la mise sur le marché, notamment la recherche, le développement, la démonstration et commercialisation et la démonstration de technologies propres en agriculture.

Les demandes seront acceptées en tout temps jusqu’à ce que tous les fonds aient été attribués, à moins d’annonce contraire par le programme. Pour en savoir plus sur l’admissibilité et pour présenter une demande, visitez le site Programme des technologies propres en agriculture : volet de recherche et d’innovation ou Programme des technologies propres en agriculture : volet d’adoption.

Faits en bref

  • Le nouveau Programme des technologies propres en agriculture doté d’un financement de 165,7 millions de dollars concentrera sur trois domaines prioritaires : l’énergie verte et l’efficacité énergétique, l’agriculture de précision et la bioéconomie. Le programme investira 50 millions de dollars dans l’achat de séchoirs à grains plus efficaces pour les agriculteurs canadiens et 10 millions de dollars dans l’alimentation des fermes en énergie propre et l’abandon du diesel.
  • Le processus à deux étapes du Programme comprend d’abord la soumission du formulaire de résumé de projet, qui permettra de déterminer l’admissibilité du projet et sa conformité aux critères et aux priorités du programme. Les candidats retenus à la première étape seront invités à soumettre une demande complète.
  • Agriculture et Agroalimentaire Canada estime que ce programme a le potentiel de réduire jusqu’à 1 mégatonne de gaz à effet de serre (équivalent dioxyde de carbone) dans l’atmosphère de la Terre.

L’Ordre des agronomes du Québec présente un bilan positif de ses activités d’inspection professionnelle pour l’exercice financier 2020-2021. Pas moins de 250 inspections ont été effectuées dans le cadre du Programme de surveillance général couvrant ainsi les champs de l’agroenvironnement, la régie de production animale, l’économie, la gestion et le financement agricoles, et la phytoprotection.

En ce qui concerne plus particulièrement la phytoprotection, le présent exercice financier atteint la quatrième année d’inspection en vertu de l’entente signée par le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques et l’Ordre, en février 2018, à la suite de l’entrée en vigueur du Règlement modifiant le Code de gestion des pesticides. Ainsi, 64 agronomes ont été inspectés, ce qui représente 52 inspections régulières, 9 inspections particulières et 3 suivis de dossiers. S’ajoutent 2 auditions devant le comité d’inspection professionnelle. À ce jour, 183 inspections ont été menées auprès des membres de l’Ordre œuvrant en phytoprotection depuis la signature de l’entente.

Si des lacunes ont été observées concernant, entre autres, le volet règlementaire, la sous-utilisation ou l’interprétation erronée des outils de l’Ordre définissant les règles de l’art de la pratique en phytoprotection, ou encore l’absence ou la limitation des informations données verbalement aux clients sur le suivi notamment, de l’efficacité des interventions phytosanitaires, des correctifs ont été apportés à la suite des inspections.

Améliorations

Parmi les améliorations observées, on remarque une augmentation de la conformité de l’ensemble de la pratique agronomique des agronomes inspectés (conformité de 71 % en 2020 comparativement à 61 % en 2019). De plus, la prise en compte des indices de risques liés à l’environnement, à la santé et la sensibilisation accrue auprès des producteurs sont maintenant intégrés dans la pratique d’une grande majorité d’agronomes en plus d’être consignés dans leurs dossiers.

Communiqué complet

L’objectif du Bilan des cultures est de recueillir chaque semaine de l’information quantitative et qualitative sur l’état des cultures de maïs et soya dans les principales régions de production de ces grains au Québec.

Lancé en 2020, cette nouvelle initiative chapeautée cette année par PGQ (Producteurs de grains du Québec), l’ANCQ inc. et le RVQ (Réseau végétal Québec) en collaboration avec Concertation Grains Québec vise à fournir tout au long de la saison au milieu agricole une lecture la plus juste possible de la situation dans le champ, selon les régions.

  • Où en sommes-nous dans le développement des cultures?
  • Quelles sont les principales observations et problématiques rencontrées?
  • Que pouvons-nous envisager comme récoltes?

Le sondage a lieu du mardi au jeudi à midi, chaque semaine jusqu’aux récoltes, auprès des producteurs et intervenants agricoles à partir d’une application mobile. Il ne prend que quelques instants à compléter, et permet aux participants de partager leurs observations et même des photos.

Les résultats sont diffusés tous les vendredis à la première heure, sur les sites du Bulletin des Agriculteurs et de Grainwiz. Le Réseau végétal Québec partage également les résultats à tous ses membres via son portail Web.

Vous aimeriez en savoir plus sur cette activité ou vous joindre aux participants, vous pouvez nous joindre au info@grainwiz.com ou encore télécharger le document suivant pour obtenir plus d’information : En savoir plus.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

En vertu de la Loi sur les produits antiparasitaires, l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) de Santé Canada propose de fixer des limites maximales de résidus (LMR) pour le glyphosate sur diverses denrées de manière à permettre l’importation et la vente d’aliments contenant ces résidus, et de mettre à jour les descripteurs des denrées alimentaires en supprimant l’ancienne terminologie qui correspond aux LMR actuellement établies pour les denrées alimentaires transformées à base de céréales.

L’ARLA invite le grand public à présenter des commentaires écrits sur la limite maximale de résidus proposée sur le glyphosate pendant les 75 jours suivant la date de publication de ce document de consultation. L’ARLA examinera tous les commentaires reçus concernant la LMR proposée pour le glyphosate.

Il est donc possible de transmettre vos commentaires du 6 mai 2021 au 20 juillet 2021 (période de 75 jours civils).

Document de consultation

Santé Canada affichera les résultats de cette consultation sur son site Web. Lorsque la décision portant sur le glyphosate sera finalisée, les LMR fixées entreront légalement en vigueur à la date à laquelle elles auront été saisies dans la base de données des LMR pour pesticides, une application de requête en direct qui permet aux usagers de chercher des LMR fixées, réglementées en vertu de la Loi sur les produits antiparasitaires, tant pour les pesticides que pour les denrées.

Si vous avez des questions à ce sujet, veuillez communiquer avec le Service de renseignements sur la lutte antiparasitaire.

Le Bilan des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des négociants de céréales du Québec inc. et du Réseau végétal Québec, publié chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide du Bilan des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison. Nouveau cette année, le Bilan des cultures compare l’évolution des champs par rapport à l’année dernière.

L’honorable Marie-Claude Bibeau, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, a lancé le 3 juin le processus fédéral de consultation sur le prochain cadre stratégique pour l’agriculture.

Le cadre stratégique pour l’agriculture est un accord fédéral-provincial-territorial de grande envergure. Il remplacera l’actuel Partenariat canadien pour l’agriculture, doté d’un budget de 3 milliards de dollars sur cinq ans, qui prendra fin le 31 mars 2023.

Les consultations permettront de façonner l’orientation du prochain cadre stratégique pour l’agriculture, en s’appuyant sur l’expérience et les idées que communiqueront les intervenants. Le gouvernement du Canada s’est engagé à collaborer avec ses partenaires provinciaux et territoriaux, les Canadiens et tous les intervenants, y compris les producteurs et les transformateurs agricoles, les femmes en agriculture, les jeunes, les collectivités autochtones, les organismes de protection de l’environnement et les petits sous-secteurs émergents, afin de recueillir des commentaires et de faciliter l’élaboration du prochain cadre.

Les consultations débuteront en juin et se poursuivront jusqu’au printemps 2022. Pour obtenir des mises à jour sur les consultations, des résumés des commentaires reçus ou pour connaître les occasions de contribuer à la discussion, vous pourrez consulter le prochain cadre stratégique pour l’agriculture tout au long de l’exercice 2021-2022.

Le MAPAQ a publié « Le bioalimentaire économique » document offrant un portrait de l’industrie bioalimentaire du Québec ainsi qu’un aperçu de la conjoncture économique mondiale pour l’année 2020. Les situations retenues illustrent la performance de chacun des secteurs de l’industrie bioalimentaire et contient également une analyse des principaux facteurs sous-jacents à cette performance, c’est-à-dire la conjoncture économique, l’évolution de la demande intérieure et la dynamique des échanges internationaux.

Ce portrait de l’industrie bioalimentaire du Québec paraît dans un contexte marqué par la pandémie de COVID-19, qui affecte tous les pans de l’économie et tous les secteurs de l’industrie bioalimentaire du Québec depuis l’année 2020. Ainsi, elle a eu un impact majeur sur l’industrie bioalimentaire québécoise. Autant l’agriculture que la transformation alimentaire et le secteur tertiaire ont été affectés, mais différemment. Sur le plan international, les répercussions de la pandémie sur les chaînes d’approvisionnement et la vigueur exceptionnelle de la demande chinoise pour les importations de viande, de grains et d’oléagineux ont marqué la conjoncture.

D’un autre côté, la pandémie a remis au premier plan l’industrie bioalimentaire, que l’on tient généralement pour acquise et qui est plus que jamais reconnue comme une activité prioritaire compte tenu de son rôle névralgique dans l’approvisionnement alimentaire de la population du Québec, qui représente un besoin essentiel. Cette pandémie a amené ainsi son lot d’incertitudes et de questionnements par rapport à l’évolution de l’industrie bioalimentaire québécoise (ex. : achat local, autonomie alimentaire).

Depuis maintenant 32 ans, AgriRÉCUP calcule le taux de recyclage moyen sur trois ans des contenants de pesticides et de fertilisants agricoles de 23 L et moins. Le taux de recyclage calculé récemment apporte une excellente nouvelle puisqu’il démontre qu’en 2020, le taux atteint 76 % contre 71 % en 2019. Au Canada, il s’agit d’un record absolu pour le recyclage des bidons vides en plastique agricole.

Le taux de recyclage mesure le pourcentage de contenants collectés pour le recyclage par rapport au nombre de contenants vendus sur le marché pour la même année.

Au total, en 2020, les agriculteurs ont rapporté plus de 5,5 millions de bidons de pesticides et de fertilisants de 23 litres et moins.

Outre l’effort consenti par les agriculteurs, AgriRÉCUP attribue l’augmentation du taux de recyclage à la collaboration des 1 200 détaillants de produits agricoles et des municipalités de partout au pays. Ensemble, ils gèrent des sites de collecte de recyclage. Ils travaillent avec les agriculteurs pour récupérer les contenants vides et rincés. AgriRÉCUP conçoit également des programmes d’incitation. Par exemple, il offre gratuitement des sacs de collecte pour le recyclage. Cela facilite l’entreposage, la collecte et le transport des contenants vides par les agriculteurs.

Les plastiques agricoles récupérés deviennent de nouveaux produits comme du drain agricole, des tuyaux flexibles d’irrigation et des sacs à vidange.

Les 20 et 21 mai 2021, les partenaires de la filière agroalimentaire avaient été conviés à la 2e rencontre annuelle de la Politique bioalimentaire 2018-2025.

Lors de cette rencontre virtuelle, le ministre André Lamontagne a dressé un bilan de la progression des cibles de la Politique et des premiers résultats des mesures annoncées l’automne dernier pour une plus grande l’autonomie alimentaire du Québec.

Les participants ont assisté aux présentations suivantes :

Le Service des délégués commerciaux (SDC) vous invite à une série de trois webinaires intitulée Renforcer la collaboration entre le Canada et l’Europe dans le domaine de l’agriculture durable. Chaque webinaire décrira l’écosystème actuel d’un marché en particulier et présentera les solutions les plus innovantes dans les secteurs clés suivants :

  • Technologies agricoles – 25 mai 2021
  • Stimulation des sols et protection des cultures – 1er juin 2021
  • ​Élevage et agriculture de précision – 8 juin 2021

Durant chacun de ces webinaires, des délégués commerciaux œuvrant sur le terrain présenteront aux participants des occasions d’affaires dans ces marchés. De plus, des séances de réseautage avec des entreprises locales sont prévues.
Pour participer à cette série de webinaires du SDC : inscrivez-vous maintenant.

​Le Service des délégués commerciaux du Canada aide les entreprises canadiennes à croître, en leur offrant des possibilités à l’échelle internationale et en les connectant avec les responsables de ses programmes de financement et de soutien de même qu’avec son réseau de délégués commerciaux dans plus de 160 villes dans le monde.

La Commission canadienne des grains a annoncé aujourd’hui une proposition de réduire les droits de service perçus pour quatre services d’inspection officielle et de pesée officielle des grains à compter du 1er août 2021. Cette proposition fait suite à la croissance soutenue des volumes d’exportation de grain au cours des dernières années et vise à mieux harmoniser les revenus tirés des droits avec les coûts fixes associés à la prestation des services.

Ces changements se traduiraient par une réduction combinée des droits pour les services d’inspection et de pesée officielles, qui passeraient de 1,48 $ à 1,05 $ la tonne pour les navires, et par une réduction des coûts de 37,88 $ par service d’inspection et de pesée officielles de wagons, camions ou conteneurs. La réduction proposée survient deux ans avant la fin du cycle actuel d’examen des droits de service.

Pour l’exercice 2021-2022, les droits payés par les intervenants du secteur céréalier seraient réduits d’environ 13,79 millions de dollars, soit une diminution des coûts de 19 %. Les économies pour les exercices 2022-2023 et 2023-2024 seraient d’environ 20,68 millions de dollars chaque année, soit une diminution des coûts de 29 %. Cela représente une économie globale de 55,15 millions de dollars pour les trois années d’exercice mentionnées précédemment.

Les changements proposés nécessitent la modification du Règlement sur les grains du Canada. Ils seront publiés dans la Gazette du Canada, Partie I, le 22 mai 2021, et les intervenants ont jusqu’au 7 juin 2021 pour faire part de leurs commentaires.

Pour plus d’information sur le sujet en question, svp lire le communiqué de presse en cliquant sur le bouton ci-dessous.

Le 19 mai 2021, Santé Canada a annoncé sa décision de ne pas interdire l’utilisation de l’imidaclopride (famille des néonicotinoïdes) à la suite à la réévaluation des risques pour la santé humaine et l’environnement.

L’évaluation de Santé Canada indique que, lorsqu’elles sont assorties de mesures d’atténuation des risques additionnelles, beaucoup d’utilisations de produits contenant de l’imidaclopride sont conformes aux normes actuelles de protection de la santé humaine et de l’environnement. Certaines utilisations de l’imidaclopride sont toutefois éliminées en raison de possibles risques pour l’environnement.

Les conditions d’utilisation revues doivent être indiquées sur toutes les étiquettes des produits dans les 24 mois à compter d’aujourd’hui, à l’exception d’une utilisation, pour laquelle il n’existe pas de solution de rechange convenable, qui se poursuivra pendant 24 mois de plus.

Les nouvelles mesures visant les utilisations toujours permises incluent l’affichage sur les étiquettes des directives revues, dont des taux d’application réduits, des nombres d’applications réduits, des modifications à l’équipement de protection individuelle (EPI) requis pour l’application de traitements de semences ainsi que des zones tampons à respecter lors de la pulvérisation. Certaines utilisations sont éliminées pour réduire au minimum de possibles risques pour l’environnement.

L’Ordre des agronomes du Québec a lancé un appel de candidatures à ses membres pour former des comités de travail qui participeront aux travaux de l’Ordre dans le cadre de la modernisation de la Loi sur les agronomes.

En plus d’un comité ad hoc sur la modernisation de la Loi, l’Ordre formera 6 comités selon les champs de compétences agronomiques :

  • Productions animales
  • Production et transformation des aliments
  • Agroéconomie
  • Horticulture ornementale, maraîchère et fruitière
  • Grandes cultures, sols et environnement
  • Génie agricole

Comme il s’agit de l’avenir de la profession, nous partageons cette invitation de l’OAQ à nos membres afin que les agronomes à votre emploi qui seraient intéressés et disponibles puissent soumettre leur candidature.

Date limite pour soumettre une candidature à l’OAQ :
le lundi 24 mai 2021, à midi.

Tous les détails sont disponibles sur le site web de l’OAQ.

Le 12 mai dernier, dans le cadre de la Quotidienne agricole diffusée sur le site de la Vie agricole, M. Pierre Petelle, président et chef de la direction de CropLife Canada, a tenu à préciser que l’industrie de la phytoprotection doit faire partie de la solution pour une agriculture durable.

Afin de bien appuyer le message, une lettre d’opinion rédigée par M. Petelle a également été publiée par la Vie agricole, le 15 mai. Dans cette lettre, il explique le chemin déjà parcouru par l’industrie et son rôle crucial dans la mise en place de meilleures pratiques pour une agriculture durable. « Si nous voulons continuer à faire les progrès importants qui sont nécessaires en matière de durabilité en agriculture, il faudra les efforts collectifs de tous les acteurs concernés – depuis les producteurs agricoles et les agronomes jusqu’aux gouvernements et à l’industrie. L’agriculture durable n’est pas une destination que nous allons atteindre, mais plutôt un engagement en faveur de l’amélioration continue. », conclue-t-il.

L’Ordre des agronomes du Québec a annoncé le 13 mai la réélection de M. Pascal Thériault à la vice-présidence pour un troisième mandat de trois ans.

M. Thériault est membre de l’Ordre des agronomes du Québec depuis 2003. Il est économiste, professeur, chercheur et directeur des relations communautaires à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement au Campus Macdonald de l’Université McGill.

Agriculture durable, profession et société, formation des agronomes, éthique et gouvernance, ainsi que l’agronome et le consommateur sont les différents thèmes sur lesquels M. Thériault compte poursuivre son travail auprès de l’Ordre.

AgriRÉCUP a publié son rapport annuel 2020 au début du mois de mai. Celui-ci souligne la performance de ses programmes permanents et de ses projets pilotes, visant la récupération des produits agricoles et des emballages usagés pour les recycler ou les éliminer de façon responsable d’un point de vue écologique.

Les chiffres de récupération présentés dans le rapport montrent clairement que les agriculteurs canadiens adhèrent aux programmes environnementaux. Ce geste les aide à gérer les déchets agricoles comme les contenants de pesticides et d’engrais, les sacs-silos à grains, la ficelle utilisée pour presser le foin. Les producteurs agricoles peuvent aussi rapporter les pesticides périmés ou ceux dont ils ne veulent plus. S’y ajoutent les sacs de semences, de pesticides, et autres, pour autant qu’ils aient accès à ces programmes.

En 2020, malgré les difficultés d’une année dominée par les restrictions de la pandémie causée par la COVID-19, les agriculteurs ont rapporté plus de 5,5 millions de bidons de pesticides et d’engrais de 23 litres et moins. La collecte de cette année a porté à plus de 137,4 millions le nombre total de bidons récupérés aux fins de recyclage depuis le début du programme en 1989. Le recyclage de ces contenants donne une seconde vie aux plastiques sous forme de tuyaux de drainage.

La collecte des pesticides et des médicaments périmés (santé animale) témoigne de l’engagement d’AgriRÉCUP d’aider les producteurs à gérer ces produits de façon responsable. Mené en partenariat avec l’Institut canadien de la santé animale, ce programme fournit un service essentiel aux producteurs agricoles. Il leur permet d’apporter aux sites de collecte d’AgriRÉCUP les pesticides non désirés, périmés, de même que les médicaments (bétail et chevaux) du même genre. Il s’agit d’une collecte triennale tenue en rotation dans différentes régions partout au Canada. En 2020, les agriculteurs du Québec ont rapporté ces matériaux lors des événements de collecte qui se déroulent différents distributeurs. Après leur collecte, les plus de 298 000 kg de pesticides périmés et 3 380 kg de médicaments périmés pour animaux de ferme (résultats de la collecte dans plusieurs provinces) ont pris la route vers des installations spécialisées pour élimination sécuritaire.

En Alberta, au Manitoba et au Québec des projets pilotes concentrés sur la collecte (sacs-silos à grains, pellicule de plastique d’enrubannage pour balles et pour ensilages, ficelle) ont permis de recueillir l’information sur les niveaux de participation, les systèmes de collecte et le développement du marché final. Cette information aidera AgriRÉCUP à étendre ces programmes aux autres régions du Canada. AgriRÉCUP ciblera d’abord les endroits où ces programmes auront le plus grand impact sur la gestion efficace des déchets agricoles non organiques générés par les fermes canadiennes.

Pour plus de renseignements sur les différents programmes d’AgriRÉCUP, veuillez visiter le agrirecup.ca.

Voici les nouveaux développements concernant la grève générale illimitée en vigueur depuis le lundi 26 avril au Port de Montréal.

Le jeudi 29 mars, la Chambre des communes a approuvé un projet de loi pour mettre fin à cette grève. Le Sénat se réunira vendredi afin de sanctionner la loi.

Le projet de loi impose le retour au travail à 0 h 01 suivant la sanction de la loi, à défaut de quoi le syndicat et l’employeur sont passibles d’amendes de 100 000 $ par jour d’infraction. Ce qui signifie que les activités pourraient reprendre dès samedi. Le syndicats des débardeurs a toutefois annoncé son intention de contester le projet de loi.

Nous restons à l’affût de la conclusion de ce dossier.

Le 26 mars dernier, nous avons procédé au lancement du tout nouveau site web de Réseau végétal Québec. Présentation visuelle attrayante, navigation facilitée, nouvelles fonctionnalités : nous sommes convaincus que vous apprécierez cette mise à niveau de notre présence sur le web!

Amélioration des communications à nos membres

En nous permettant de publier du contenu de façon dynamique, cette plateforme nous amène à proposer de nouveaux modes de communication qui répondront mieux à vos besoins en matière d’information.

Actualités

Chaque semaine, nous effectuons pour vous une vigie de l’actualité, que ce soit par le biais des médias ou de nos nombreuses collaborations avec d’autres organisations du secteur. Nous publions les nouvelles à valeur ajoutée pour nos membres dans la section Actualités du site. Visitez-la régulièrement!

Revue de presse hebdomadaire

Depuis le 2 avril, la revue de presse qui vous était envoyée par courriel est dorénavant hébergée sur le site web. Ainsi, vous pouvez consulter en tout temps les revues de presse publiées précédemment.

Pour y accéder, visitez la section Revues de presse.

Votre nouveau courriel « Quoi de neuf »

Le courriel que vous recevez le vendredi a également été revu. Vous y retrouvez maintenant un lien vous permettant d’accéder directement à la revue de presse de la semaine, en plus de voir un aperçu des actualités publiées récemment sur le site ainsi que des événements de l’association à venir.

Les entreprises membres de l’association peuvent ajouter des destinataires à notre liste d’envoi en communiquant avec nous à l’adresse info@reseauvegetalquebec.com.

De nouvelles fonctionnalités dès l’automne

Dès les prochaines semaines, nous entreprendrons une nouvelle phase de développement web en vue de déployer un extranet en septembre. Ainsi, vous aurez accès à du contenu en exclusivité, en plus de pouvoir bonifier votre présence dans notre répertoire numérique.

Surveillez vos courriels dans les prochains mois pour en savoir plus!

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne, a annoncé le 10 avril dernier l’octroi d’une subvention de 30 millions de dollars au Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies (FRQNT) pour la création et la gestion du Réseau d’expertise en agriculture durable et du Programme orienté en partenariat sur l’agriculture durable.

Ainsi, dans les prochains jours, le FRQNT lancera un appel de propositions visant à constituer le Réseau d’expertise en agriculture durable, lequel fera appel à la participation des universités, des consortiums, des centres de recherche, des centres collégiaux de transfert de technologie et du milieu utilisateur. La subvention permettra également de mettre en place et de gérer le Programme orienté en partenariat sur l’agriculture durable pour lequel quatre appels de projets sont prévus d’ici 2025, dont un premier à l’automne 2021.

Cette collaboration entre plusieurs partenaires du milieu assurera un développement efficace de pratiques agroenvironnementales performantes et favorisera le réseautage et l’établissement d’une recherche respectueuse des plus hauts standards d’indépendance et de bonne gouvernance. Pour répondre aux besoins du secteur agricole, la complémentarité entre la recherche fondamentale et la recherche appliquée sera assurée.

Les thématiques de recherche ciblées pour le Réseau sont en lien direct avec les objectifs du Plan d’agriculture durable 2020-2030 et visent la santé et la conservation des sols ainsi que la réduction des pesticides dans un contexte de changements climatiques. Les résultats de ces recherches permettront d’obtenir des gains agroenvironnementaux durables pour le secteur agricole.

C’est avec tristesse que nous vous annonçons le décès de M. Denis Payette, membre honoraire de Réseau végétal Québec (auparavant l’Association professionnelle en nutrition des cultures), survenu le 8 avril dernier.

M. Payette a joué un rôle important dans l’industrie des fertilisants du Québec dans les 70, 80 et 90.  Il a été président de notre association en 1980, et a siégé sur plusieurs comités au cours de ces années. Le titre de membre honoraire lui avait été décerné au début des années 2000 pour sa précieuse contribution à l’association et à l’industrie des fertilisants du Québec.

Nous souhaitons transmettre nos plus sincères condoléances à sa conjointe, Luce Poulin, à ses fils Vincent et Sébastien, ainsi qu’à sa famille et ses proches.

Lors du Rendez-vous végétal 2021, quatre nouvelles capsules de la série « Les bons coups au champ » ont été présentées aux participants de l’événement.

Trois d’entre elles portent sur de bons coups de différents producteurs agricoles au niveau environnemental et démontrent les avantages de l’agriculture de précision.

Ferme Dublay inc.

Ferme Jacobs inc.

Ferme Joviane inc.

Le bon coup de l’industrie

Les détaillants et distributeurs d’intrants agricoles, tout comme les producteurs ont à cœur de diminuer les impacts environnementaux de notre secteur. Les programmes de gestion des déchets agricoles, tels que ceux mis en place par AgriRÉCUP, fonctionnent grâce à leur engagement.

Voyez cette capsule qui met de l’avant la collaboration de la filière pour réduire les déchets plastiques en agriculture.

Un bon coup de l'industrie

Partagez les capsules vidéos « Les bons coups au champ »

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, nous vous invitons à partager les capsules dans vos réseaux sociaux pour faire connaître l’innovation technologique en agriculture et la proactivité des producteurs du Québec.

Soyez un ambassadeur de notre secteur agricole!

Mise à jour sur la COVID-19

Le gouvernement du Québec a annoncé aujourd’hui l’élargissement de la vaccination contre la COVID-19 à certaines catégories d’âge et de travailleurs essentiels (preuve d’emploi nécessaire), dont les employés d’abattoirs et les travailleurs étrangers temporaires.

Pour en savoir plus sur les groupes prioritaires pour la vaccination, consultez le site du gouvernement.

Nous sommes en constante communication avec le ministère pour obtenir les clarifications nécessaires quant aux prochaines étapes de la vaccination.

Nous vous tiendrons informé.