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Madame Anouschka Bouchard, présidente-directrice générale de Réseau végétal Québec

Réseau Végétal Québec est fier d’annoncer la nomination de Mme Anouschka Bouchard à titre de présidente-directrice générale de l’association.

Spécialiste en communication et relations publiques, elle allie une expertise stratégique à une solide connaissance du secteur agricole. Depuis 2010, Anouschka s’est pleinement impliquée dans le monde agricole. D’abord copropriétaire d’un vignoble et d’une cidrerie, elle a contribué à sa croissance et son exploitation.

Elle a ensuite travaillé comme gestionnaire pour un détaillant de grains et de moulées pour animaux, une expérience qui lui a permis de développer une compréhension approfondie des besoins des producteurs agricoles. Ces expériences de terrain lui ont donné une vision précise des défis du secteur et lui ont permis de tisser des liens solides avec ses principaux acteurs.

Forte de plus de 15 ans d’expérience en communication stratégique, Anouschka a su naviguer avec succès entre les secteurs public et privé. Elle a siégé à plusieurs comités consultatifs provinciaux et dirigé des campagnes de communication percutantes, tant traditionnelles que numériques. Elle a également supervisé des équipes et conseillé des gestionnaires sur des enjeux complexes.

Son parcours entrepreneurial, complété par une formation en communications et relations publiques ainsi qu’un certificat en développement des affaires de HEC Montréal, témoigne de sa capacité à prendre des décisions stratégiques dans des environnements en constante évolution.

Entrée en fonction ce lundi 25 novembre, Anouschka Bouchard s’engage à mettre son expertise au service de l’organisation. Elle souhaite contribuer à son rayonnement, soutenir son développement et renforcer les liens avec les acteurs clés du secteur afin de favoriser la croissance de cette organisation innovante, au cœur du développement du Québec.

Le conseil d’administration de Réseau végétal Québec lui souhaite un franc succès dans ses nouvelles fonctions.

Chaque année, Réseau végétal Québec soumet des demandes d’accréditation auprès de l’Ordre des agronomes du Québec (OAQ) afin de faire reconnaître ses activités de conférences en tant que formation continue.

Note – La période de référence de formation continue de l’OAQ est du 1er janvier d’une année impaire au 31 décembre d’une année paire. La date limite pour déclarer les heures effectuées est le 1er février suivant la fin de la période. Les agronomes doivent s’assurer de conserver les pièces justificatives nécessaires (ex.: reçu d’inscription) pour la durée requise par le règlement.

Voir le Règlement sur la formation continue obligatoire des agronomes ou le guide explicatif préparé par l’OAQ.

Congrès et AGA – 26-27 septembre 2024

  • L’OAQ reconnait 2 h 30 de formation continue pour le 26 septembre et 0 h 50 pour le 27 septembre.

Cabane à sucre – 22 mars 2024

  • L’OAQ reconnaît 2 h de formation continue

Le Rendez-vous végétal 2024

  • L’OAQ reconnaît 5 h 20 de formation.

Module 1 – Santé des sols

  • L’OAQ reconnaît 4 h de formation.
  • L’OTPQ reconnaît 2 h 30 de formation.

Formation de base – 4B Gestion des nutriments

  • L’OAQ reconnaît 1 h 40 de formation.

Formation – Employeur de professionnels membres d’un Ordre, mieux comprendre le cadre pour mieux soutenir

  • 15 février 2024, 22 février 2024, 28 février 2024
  • 4 heures en « éthique, déontologie et pratique professionnelle »
    L’accréditation est valide jusqu’au 31 décembre 2024. Les participants présents ont reçu une attestation personnalisée par courriel.

Les 26 et 27 septembre dernier se tenait notre 68e congrès et assemblée générale annuelle. En plus d’annoncer la composition du conseil d’administration de la prochaine année et de publier notre rapport annuel, plusieurs grands moments ont marqué l’événement : changement à la présidence du conseil, accueil d’un nouveau membre honoraire et fusion entre Réseau végétal Québec et l’Association des marchands de semences du Québec (AMSQ).

Changement à la présidence

Le 68e congrès et assemblée générale annuel de Réseau végétal Québec a été marqué par un changement à la présidence du conseil d’administration. En effet, après 9 années à assumer ces fonctions, M. Sylvain Lavoie, agr., MBA a passé le flambeau à M. Stéphane Beaucage.

Sylvain Lavoie, président ex officio, et Stéphane Beaucage, président élu

M. Lavoie, qui est entré au conseil d’administration en 2012, a d’abord occupé le poste de trésorier de 2012 à 2014, puis de vice-président en 2014 jusqu’à son élection à titre de président en 2015. M. Lavoie poursuivra désormais son implication au conseil en tant que président ex officio.

De son côté, M. Beaucage a d’abord siégé au conseil de 2005 à 2010, en plus d’avoir occupé la présidence de 2007 à 2009. Il a joint le conseil à nouveau en 2015 et s’implique depuis plusieurs années au sein du comité aviseur 4B de Réseau végétal Québec.

Nous les remercions de mettre leur expertise et leurs connaissances au service de Réseau végétal Québec et de ses membres!

Accueil d’un nouveau membre honoraire

Le congrès annuel 2024 fût également l’occasion de souligner les nombreuses années d’implication d’un ancien administrateur, en accueillant M. Benoit Brunelle à titre de membre honoraire de l’association. Auparavant à la direction du Réseau Agrocentre, M. Brunelle a fait son entrée au conseil en 2009 et a occupé la présidence de 2011 à 2015. Retraité depuis 2021, nous étions heureux de le compter parmi nous lors de cette soirée hommage.

Nouveau membre honoraire 2024, M. Benoit Brunelle
De gauche à droite : M. Jean-François Patenaude, agr. (Réseau végétal Québec), M. Benoit Brunelle (membre honoraire), Mme Line Delorme (conjointe), M. Sylvain Lavoie, agr. MBA (président du conseil).

Réseau végétal Québec et l’AMSQ joignent leurs forces

Depuis plusieurs années, Réseau végétal Québec a mené des actions concrètes afin d’assumer pleinement sa mission de « Promouvoir et faire reconnaître l’expertise technique et scientifique des fournisseurs d’intrants en production végétale et leur contribution à une agriculture québécoise durable ».

L’une de ces plus récentes actions a été de mené de nombreuses discussions avec un partenaire du secteur des intrants végétaux, l’Association des marchands de semences du Québec (AMSQ), afin d’analyser nos positions et évaluer la possibilité de joindre nos forces.

Ces discussions se sont conclues la semaine dernière, alors que les membres de l’AMSQ et de RVQ ont unanimement voté en faveur de fusionner leurs activités. Cette décision nous permettra de renforcer notre représentation du secteur des semences et d’affirmer notre position en tant qu’interlocuteur principal de l’industrie.

Voyez ou revoyez l’événement en photos

Un album photo de cet événement a été mis en ligne. Visionnez-le!

Les 26 et 27 septembre 2024, près de 100 participants se sont rassemblés à l’occasion du 68e congrès et assemblée générale annuelle de Réseau végétal Québec à l’Hôtel du Domaine de Thetford Mines. Merci à tous pour votre présence!

Le 68e congrès et assemblée générale annuelle de Réseau végétal Québec a rassemblé près de 100 participants qui se sont réunis les 26 et 27 septembre à l’Hôtel du Domaine à Thetford Mines. Lors de ce événement, le conseil d’administration pour l’année à venir a été formé et un survol des dossiers importants de la dernière année a été présenté aux membres.

Votre conseil d’administration 2024-2025

MM. Jean Boudreau, Dany Gagnon et Richard Adam ont été reconduits dans leurs fonctions afin d’occuper respectivement les sièges 3, 4 et 7 qui sont réservés aux membres A.

M. Stéphane Beaucage de l’entreprise Agro-100 ltée a quant à lui été reconduit au siège 11, réservé aux membres B.

Élection des officiers 
À la suite de l’assemblée générale annuelle, le conseil s’est réuni, et les officiers suivants ont été élus :

Président : M. Stéphane Beaucage
Vice-président : M. Richard Adam, agr., MBA
Secrétaire-trésorier : M. Charles Gauvin, agr.
Président ex-officio : M. Sylvain Lavoie, agr., MBA

Conseil d’administration 

Rapport annuel 2023-2024

Il nous fait plaisir de vous partager le rapport annuel 2023-2024, qui vous donnera une bonne vue d’ensemble sur l’association, les différents dossiers dans lesquels elle est impliquée et ses événements.

L’AQINAC et Réseau végétal Québec sont fières d’offrir à leurs membres chaque trimestre une veille des programmes d’aide gouvernementale auxquels ses membres pourraient être admissible dans ces différents champs :

  • Innovation et développement
  • Relève et main d’œuvre
  • Environnement et développement durable
  • Assurances et gestion des risques

Rapport de septembre 2024 – NOUVEAU!
Rapport de juin 2024

Rapport de janvier 2024
Rapport de septembre 2023
Rapport de juin 2023
Rapport mars 2023

À noter: Certains liens Internet ne sont pas permanents. Prière de sauvegarder dans vos dossiers les informations qui vous intéressent afin de vous assurer de les retracer.

Secteur Grandes cultures / Grains


Fertilisants et produits phytosanitaires


Transport


Général


Économie


Environnement


Opinions


Événements


Devenez partenaires

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La revue de presse fera relâche pour les 3 prochaines semaines. De retour en août!

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Fiers du succès des séances tenues en février et mars, nous sommes heureux de vous annoncer que la formation Employeur de professionnels membres d’un Ordre, mieux comprendre le cadre pour mieux soutenir est maintenant disponible pour une présentation au sein de votre entreprise.

Réunissez vos gestionnaires afin de leur offrir les connaissances et outils pour mieux accompagner les employés sous leur responsabilité qui sont membres d’un ordre professionnel et qui doivent répondre à des obligations déontologiques dans le cadre de leurs fonctions.

En plus de permettre à vos employés d’exercer leur profession dans les règles de l’art, votre entreprise en retirera plusieurs conseils pour améliorer ses pratiques internes pour préserver sa notoriété publique ainsi que sa marque employeur.

Pour en savoir plus sur le contenu de la formation, les thèmes abordés, les objectifs et le formateur >

Ce qu’en ont dit nos participants

Ce sont 70 personnes de différents horizons (direction générale, ventes et développement des affaires, ressources humaines, conseil agronomique, etc.) à l’emploi de 41 entreprises des secteurs végétal et animal qui ont assisté à la présentation et posé leurs questions à un avocat ayant à la fois une connaissance du système professionnelle et du secteur agricole.

« Des exemples concrets, la possibilité de poser des questions et d’échanger, une très bonne maîtrise du sujet et du contexte par Me Montfils, de bons exemples de bonne pratique. Vraiment une excellente formation! »

« Cette formation présente un ensemble d’éléments à bien structurer pour protéger l’organisation ainsi que ce qui devrait être mettre en place pour accompagner une ressource dans l’organisation qui est contactée par son ordre professionnel. »

Renseignements sur la formation

Durée : 4 heures* (incluant une pause de 10 minutes)
Publics cibles : propriétaires d’entreprises et gestionnaires ayant sous leur responsabilité des employés membres d’un ordre professionnel; direction des ressources humaines
Nombre de participants : 10 à 30 personnes
Formateur : Me François Montfils, Associé, Therrien Couture Joli-Coeur
Coût : 4 200$ + taxes**

*La totalité de la formation a été reconnue par l’Ordre des agronomes du Québec comme étant admissible à la catégorie « Éthique, déontologie et pratique professionnelle ».
**Peuvent être facturés en sus et selon le cas : déplacement hors de Saint-Hyacinthe, repas, hébergement.

Pour réserver la formation

1) Communiquez avec nous rapidement (idéalement 30 jours à l’avance) pour valider les disponibilités du conférencier en fonction de votre calendrier corporatif. Vous devrez fournir les informations suivantes : date(s) visée(s), plage horaire (AM ou PM), nombre de participants, lieu de la formation.

2) Lors de la confirmation de la date, vous recevrez une facture pour la totalité du coût de la formation qui devra être acquittée 7 jours avant la séance. L’AQINAC se chargera de faire accréditer la séance par l’Ordre des agronomes du Québec.

3) Au minimum 2 jours avant la séance, vous devrez nous faire parvenir la liste de tous les employés qui seront présents (prénom, nom, adresse courriel) afin de nous permettre de prévoir l’émission des attestations de formation personnalisées.

Note : tous les renseignements sur les modalités de paiement, de modifications et d’annulation seront fournis lors de la demande de renseignements.

Offrez à votre entreprise cette formation et obtenez des réponses à vos questions!

Résumé

Pour un employeur, connaître et comprendre le cadre applicable à ses employés professionnels membres d’un Ordre professionnel est essentiel pour gérer de façon saine et responsable. À titre de gestionnaire et à la fois, peut-être membre d’un ordre professionnel, connaissez-vous les obligations déontologiques auxquelles vous et vos employés sont assujettis?

Dans cette formation, vous en apprendrez plus sur le système professionnel au Québec, incluant le processus d’inspection professionnelle et le cheminement d’une enquête et plainte disciplinaire. Vous serez également sensibilisés aux obligations déontologiques de vos employés professionnels, qu’ils soient agronomes ou autre, et les vôtres à titre d’employeur de professionnels. Plusieurs thèmes pertinents seront abordés, soit les obligations en matière de tenues de dossier, les notions d’indépendance professionnelle et de conflit d’intérêts, ainsi que les notions d’acte exclusif et d’exercice illégal d’une profession. Le tout ponctué d’exemples concrets tirés de la jurisprudence et de segments où les conférenciers répondront aux questions les plus fréquemment posées.

Thèmes

La déontologie et l’inspection professionnelle
Le mandat, la tenue de dossiers et la facturation
L’indépendance professionnelle et les conflits d’intérêts
Les actes exclusifs et l’exercice illégal de la profession d’agronome

Objectifs

  • Renseigner sur le système professionnel en général et les mécanismes de protection du public (l’inspection professionnelle et la discipline);
  • Sensibiliser les employeurs aux principes et obligations déontologiques des agronomes et autres professionnels qu’ils emploient;
  • Approfondir la connaissance des obligations déontologiques en matière de tenue de dossiers et autre documentation dans le cadre d’une relation professionnel-client;
  • Démystifier les notions d’indépendance professionnelle et de conflit d’intérêts afin de savoir les reconnaitre et les éviter;
  • Comprendre le caractère exclusif de l’exercice de la profession d’agronome par opposition aux professions dites à titre réservé;
  • Apprendre à identifier et se prémunir à l’encontre des situations d’exercice illégal d’une profession.

Formateur

Me François Montfils
Associé, Therrien Couture Joli-Coeur

Membre du Barreau du Québec depuis 1994, Me Montfils exerce en matière de zonage agricole et de droit disciplinaire et professionnel.

Au sein de TCJ, il dirige l’équipe de droit disciplinaire du cabinet qui se consacre essentiellement à conseiller et représenter des syndics et ordres professionnels. Il agit de façon régulière comme conférencier en matière de droit disciplinaire et professionnel. Il a enseigné l’éthique et la déontologie à l’École du Barreau du Québec.

Il préside le colloque annuel du Barreau du Québec portant sur les Développements récents en Déontologie, droit disciplinaire et professionnel. Il siège également sur le Comité sur le droit professionnel et disciplinaire du Barreau du Québec qui sera notamment appelé à conseiller ce dernier sur le projet de modernisation du système professionnel lancé à l’automne 2023.

Le mardi 12 mars, le gouvernement du Québec procédait à la publication de son budget 2024-2025. Nous avons demandé à la firme TACT de produire un sommaire des mesures qui s’adressent plus spécifiquement au secteur agricole et agroalimentaire.

Voici un aperçu des grands axes du budget à cet effet.

  • 50 millions de dollars additionnels sur 5 ans, pour le Programme Investissement Croissance Durable de la Financière agricole du Québec;
  • 107,5 millions de dollars sur 5 ans pour favoriser le développement du secteur bioalimentaire;
  • 50 millions de dollars mis à la disposition de La Financière agricole du Québec pour la création d’un nouveau fonds d’investissement.

Réseau végétal Québec vous invite à participer à une formation sur les équipements de protection individuelle (EPI). Celle-ci vous rendra éligible à offrir des diagnostics EPI à la ferme. Si vous prévoyez en faire, un kit EPI vous sera remis à la fin de la formation. Pour chaque diagnostic réalisé chez un producteur de grains, vous recevrez un montant forfaitaire de 350 $. De plus, la formation de 4 heures est accréditée par l’OAQ.

Renseignements sur la formation

« Comment bien choisir ses équipements de protection individuelle? »

  • Date : lundi 12 février 2024, 13 h à 17 h
  • Lieu : ITAQ de St-Hyacinthe
  • Formatrices : Vicky Villiard, agr., Club Durasol Drummond inc., et Anick Bérubé, M. Sc., consultante en hygiène industrielle
  • Coût : 70 $ + taxes (total : 80,48 $)
Faites vite, les places sont limitées!

Réseau végétal Québec, l’AQINAC, Les Couvoiriers du Québec et l’Association des commerçants de grains du Québec sont fières d’annoncer à leurs membres l’ouverture des inscriptions à la formation Employeur de professionnels membres d’un Ordre, mieux comprendre le cadre pour mieux soutenir.

Votre entreprise peut-elle compter sur une ressource à l’interne pour accompagner vos employés agronomes à satisfaire à leurs obligations déontologiques? Avez-vous pris la mesure du risque réputationnel pour votre marque advenant que l’un de ceux-ci soit pris en défaut?

Dans l’objectif de vous offrir des ressources pertinentes, les quatre associations ont mandaté une équipe de consultants externes chevronnés afin de vous proposer une formation conçue spécifiquement pour répondre à vos enjeux particuliers d’employeurs et/ou gestionnaires de professionnels membres d’un ordre offrant à la fois le service-conseil et la vente à votre clientèle.

Faites vite, les places sont limitées!

Pour des raisons administratives, toutes les inscriptions seront enregistrées sur le portail web de l’AQINAC.

Mise à jour – 14 février, 11h15  : Les séances du 15 et 22 février sont complètes. Rejoignez-nous le 28 février à Lévis, ou inscrivez-vous à notre liste d’attente pour être informés de toutes nouvelles séances!

5 raisons pour vous inscrire!

1) Aidez votre entreprise à mieux naviguer dans la situation délicate de l’apparence de conflit d’intérêts et à s’outiller pour continuer à offrir à la fois des conseils avisés et des produits de qualité à votre clientèle

2) Accompagnez vos employés membres d’un ordre professionnel à répondre à leurs obligations déontologiques et à démontrer qu’ils exercent leur profession dans les règles de l’art.

3) Assistez à une formation conçue spécifiquement pour le secteur agricole et agroalimentaire.

4) Posez vos questions directement à un formateur chevronné en matière de droit professionnel.

5) Si vous êtes vous-même agronome, vous pourrez inscrire 4 heures à votre dossier professionnel dans la catégorie « Éthique, déontologie et pratique professionnelle ».

Réseau végétal Québec et les associations partenaires (AQINAC, Les Couvoiriers du Québec, Association des commerçants de grains du Québec) sont fières de vous communiquer les détails de la formation Employeur de professionnels membres d’un Ordre, mieux comprendre le cadre pour mieux soutenir, dont l’annonce a été faite aux membres en décembre.

Pourquoi participer à cette formation?

La mise sur pied de cette formation s’est avérée incontournable dans le contexte des dernières années, soit en réponse aux préoccupations sociales sur l’indépendance professionnelle des agronomes ainsi que dans la foulée du dépôt, en 2022, d’un projet de loi visant à moderniser la Loi sur les agronomes qui contenait un article ciblant la dualité du rôle de conseil et de ventes. Mais qu’en est-il pour votre entreprise?

5 raisons pour réserver votre place dès l’ouverture des inscriptions!

1) Aidez votre entreprise à mieux naviguer dans la situation délicate de l’apparence de conflit d’intérêts et à s’outiller pour continuer à offrir à la fois des conseils avisés et des produits de qualité à votre clientèle

2) Accompagnez vos employés membres d’un ordre professionnel à répondre à leurs obligations déontologiques et à démontrer qu’ils exercent leur profession dans les règles de l’art.

3) Assistez à une formation conçue spécifiquement pour le secteur agricole et agroalimentaire.

4) Posez vos questions directement à un formateur chevronné en matière de droit professionnel.

5) Si vous êtes vous-même agronome, vous pourrez inscrire 4 heures à votre dossier professionnel dans la catégorie « Éthique, déontologie et pratique professionnelle ».

Renseignements

Employeur de professionnels membres d’un Ordre, mieux comprendre le cadre pour mieux soutenir

Durée : 4 heures*
Formateur : Me François Montfils, associé directeur, Therrien Couture Jolicoeur
Publics cibles : propriétaires d’entreprises et gestionnaires ayant sous leur responsabilité des employés membres d’un ordre professionnel; direction des ressources humaines
Dates :
> 15 février, 8h à 12h : Saint-Hyacinthe (bureaux de l’association)
> 22 février, 8h à 12h : Saint-Hyacinthe (bureaux de l’association)
> 28 février, 8h à 12h : Hôtel et Suites Normandin Lévis
Coût (membres) : 275 $

Les inscriptions ouvriront dans la semaine du 15 janvier 2024.

L’Ordre des agronomes du Québec a accordé 4 heures de formation continue dans la catégorie « éthique, déontologie et pratique professionnelle ».

Aperçu de la formation

Pour un employeur, connaître et comprendre le cadre applicable à ses employés professionnels membres d’un Ordre professionnel est essentiel pour gérer de façon saine et responsable. À titre de gestionnaire, et à la fois peut-être membre d’un ordre professionnel, connaissez-vous les obligations déontologiques auxquelles vous et vos employés sont assujettis?

Dans cette formation, vous en apprendrez plus sur le système professionnel au Québec, incluant le processus d’inspection professionnelle et le cheminement d’une enquête et plainte disciplinaire. Vous serez également sensibilisés aux obligations déontologiques de vos employés professionnels, qu’ils soient agronomes ou autre, et les vôtres à titre d’employeur de professionnels. Plusieurs thèmes seront abordés, soit les obligations en matière de tenues de dossier, les notions d’indépendance professionnelle et de conflit d’intérêts, ainsi que les notions d’acte exclusif et d’exercice illégal d’une profession. Le tout ponctué d’exemples concrets tirés de la jurisprudence et de segments où les conférenciers répondront aux questions les plus fréquemment posées.

Objectifs de la formation

  • Renseigner sur le système professionnel en général et les mécanismes de protection du public (l’inspection professionnelle et la discipline);
  • Sensibiliser les employeurs aux principes et obligations déontologiques des agronomes et autres professionnels qu’ils emploient;
  • Approfondir la connaissance des obligations déontologiques en matière de tenue de dossiers et autre documentation dans le cadre d’une relation professionnel-client;
  • Démystifier les notions d’indépendance professionnelle et de conflit d’intérêts afin de savoir les reconnaitre et les éviter;
  • Comprendre le caractère exclusif de l’exercice de la profession d’agronome par opposition aux professions dites à titre réservé;
  • Apprendre à identifier et se prémunir à l’encontre des situations d’exercice illégal d’une profession.

Le sujet de l’indépendance professionnelle des agronomes a été moins présent dans l’actualité médiatique et politique des derniers mois. Les administrateurs de Réseau végétal Québec et des associations partenaires (AQINAC, Association des commerçants de grains du Québec, Les Couvoiriers du Québec) ont toutefois continué de suivre le dossier de près afin de veiller aux intérêts de leurs membres.

Lors d’une réunion tenue le 26 octobre 2022, ils ont évalué les moyens à leur disposition pour positionner l’industrie comme un partenaire de premier plan lorsqu’il s’agit de proposer des solutions aux divers enjeux du secteur agricole et agroalimentaire, et notamment celui de l’indépendance professionnelle.

Parmi ces solutions, nous sommes heureux de vous annoncer la mise sur pied d’une formation destinée aux employeurs et gestionnaires d’employés membres d’un ordre professionnel, dont les agronomes et les technologues.

L’Ordre des agronomes du Québec a accordé 4 heures de formation continue dans la catégorie « éthique, déontologie et pratique professionnelle ».

Conçue spécifiquement pour les entreprises du secteur agricole et agroalimentaire, cette formation aidera les propriétaires et gestionnaires à naviguer entre leurs objectifs d’affaires et les obligations déontologiques de leurs employés professionnels.

Développée par une équipe de consultants expérimentés en droit professionnel, cette formation vous permettra d’acquérir les meilleurs outils pour gérer l’apparence de conflit d’intérêts liée à la dualité du service-conseil et de la vente par une compréhension approfondie du cadre applicable à vos employés.

Tous les renseignements sur les lieux, dates ainsi que le formulaire d’inscription seront disponibles en janvier 2024. Soyez à l’affût!

Réseau végétal Québec vous invite à participer à une formation sur les équipements de protection individuelle (EPI). Celle-ci vous rendra éligible à offrir des diagnostics EPI à la ferme. Si vous prévoyez en faire, un kit EPI vous sera remis à la fin de la formation. Pour chaque diagnostic réalisé chez un producteur de grains, vous recevrez un montant forfaitaire de 350 $. De plus, la formation de 4 heures est accréditée par l’OAQ.

Renseignements sur la formation

« Comment bien choisir ses équipements de protection individuelle? »

  • Date : lundi 12 février 2024, 13 h à 17 h
  • Lieu : ITAQ de St-Hyacinthe
  • Formatrices : Vicky Villiard, agr., Club Durasol Drummond inc., et Anick Bérubé, M. Sc., consultante en hygiène industrielle
  • Coût : 70 $ + taxes (total : 80,48 $)
Faites vite, les places sont limitées!

Vous avez suivi avec succès la formation préalable « Gestion des nutriments au Québec » du programme 4B ainsi que le module 1 « Santé des sols »?

Dans un premier temps, si vous avez eu un résultat supérieur à 80% pour chaque module, vous devriez avoir reçu une attestation de réussite (si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à nous en faire la demande). Notez qu’il n’est pas trop tard pour suivre ces formations, qui sont disponibles en tout temps sur le portail de Réseau végétal Québec.

Nouvelle étape : déclaration des superficies sous Gestion 4B

Tous les conseillers ayant reçu une attestation seront bientôt invités à remplir le formulaire Déclaration des superficies sous Gestion 4B, qui nous permettra de mesurer la progression de la philosophie 4B au Québec. Surveillez vos courriels et remplissez le formulaire rapidement!

Depuis l’entrée en vigueur de la Loi 25 (Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels dans le secteur privé), votre entreprise doit apporter des modifications à certaines de ses pratiques afin d’être conforme aux obligations de la Loi qui entrent en vigueur depuis septembre 2022 et jusqu’en 2024.

En bref, votre entreprise a l’obligation de s’informer et de se conformer, car vous détenez des renseignements personnels :

  • Vos employés actuels et antérieurs : numéros d’assurance sociale, numéros de comptes bancaires, numéros de permis de conduire (camionneurs), numéros de permis professionnels (agronomes, technologues, CPA, ingénieurs, etc.), coordonnées personnelles, etc.
  • Vos candidats lors de processus d’embauche : curriculum vitae et autres
  • Vos clients : coordonnées, numéros de cartes de crédit, etc.
  • Vos sites web : transactionnels, collectes de données pour marketing, etc.
  • Vos serveurs physiques ou infonuagiques, et vos classeurs papier

À terme, cette Loi vise à assurer que toutes les organisations détenant des renseignements personnels aient pris des actions concrètes pour :

  • Désigner officiellement une personne responsable de la protection des renseignements personnels dans l’organisation
  • Établir un plan de gouvernance sur la gestion de ces données (notamment en ce qui concerne la collecte, la conservation et la destruction des données)
  • Faire l’inventaire des renseignements personnels détenus par votre entreprise
  • Adopter des pratiques de transparence au moment de la collecte de données (sites web, embauche de personnel, ouverture de dossiers clients)
  • Être en mesure de produire sur demande de la personne concernée, le registre des renseignements détenus à son sujet

La Commission d’accès à l’information du Québec a produit un document résumant les nouvelles responsabilités et obligations découlant de cette loi. Consultez-le pour avoir une vision globale de vos obligations pour 2022, 2023 et 2024.

Invitation à un webinaire d’information gratuit

Réseau végétal Québec et ses associations partenaires (AQINAC, ACGQ, LCQ) travaillent présentement à assurer leur conformité aux obligations déjà en vigueur et à venir. Afin de vous aider à y voir plus clair, nous vous invitons à un webinaire qui sera animé par Me Sébastien Meunier (VARS Corporation) qui nous accompagne dans ce processus.

Webinaire gratuit | Comment se conformer à la Loi 25?

Date : mardi, 2 mai 2023
Heure : 12 h à 13 h
Intervenant : Me Sébastien Meunier
Ouverture du webinaire dès 11 h 50; aucune inscription requise.

Nous verrons quelles sont les étapes pratiques à suivre pour réussir un tel projet et quels sont les outils technologiques requis pour ce faire. Me Sébastien Meunier expliquera pourquoi chacune des étapes est essentielle et en quoi les outils technologiques permettent de répondre aux exigences de la Loi 25 à moindres coûts qu’une prise en charge par des ressources humaines.

Ne manquez pas cette chance de poser vos questions à un expert!

Le Rendez-vous végétal souhaite augmenter la composition de son comité organisateur. Nous sommes donc à la recherche de personnes intéressées à collaborer à la mise en place de la programmation de l’événement.

Le rôle du comité :

  • Participer à l’idéation du programme annuel de conférences
  • Contacter des conférenciers potentiels et faire le suivi des conférences (ex. : révision technique du contenu)
  • Appuyer l’équipe de la permanence dans le respect des délais et des suivis
  • Proposer des orientations, des idées et des améliorations en lien avec l’organisation de l’événement.

Engagement des membres :

  • Siéger sur le comité avec une approche non-commerciale
  • Apporter des idées et échanger avec les différents membres du comité lors des réunions
  • Participer aux 3 réunions annuelles
    • Post-mortem : ½ journée en appel vidéo
    • Brainstorm : 1 journée au bureau de Saint-Hyacinthe
    • Suivi du brainstorm : ½ journée en appel vidéo
  • Respecter et accomplir les tâches auxquelles vous vous êtes engagés
  • Répondre aux différents courriels dans des délais raisonnables
  • Participer à l’événement en présentiel

Type de collaborateurs recherchés :

  • Producteurs de grandes cultures
  • Intervenants terrain de la filière représentant différents champs d’expertises :
    • Fertilisation
    • Production
    • Semences
    • Phytoprotection
    • Équipement
    • Toute autre expertise jugée pertinente

Pourquoi s’impliquer au sein du comité?

En tant que membre du comité organisateur du Rendez-vous végétal, vous aurez l’occasion de collaborer à la création d’une journée conférences regroupant l’ensemble des acteurs de la filière au même endroit et ainsi contribuer au partage d’expertise des partenaires issus de divers horizons du secteur végétal.

Candidatures

Pour soumettre votre candidature, veuillez faire parvenir une courte lettre de motivation à Marie-Eve Lepage Boudreau au plus tard le mardi 11 avril.

Les candidatures seront évaluées par le comité lors de la prochaine rencontre prévue le vendredi 14 avril.

Au plaisir de vous accueillir au sein de notre groupe!

Le mardi 21 mars, le gouvernement du Québec procédait à la publication de son budget 2023-2024. En collaboration avec l’AQINAC, association partenaire de Réseau végétal Québec, nous avons demandé à la firme TACT de produire un sommaire des nouvelles mesures qui pourraient intéresser vos entreprises.

Voici un aperçu des grands axes du budget à cet effet.

Augmenter la productivité de l’économie québécoise

  • Favoriser la croissance des entreprises, la numérisation et les exportations
  • Accroître les sommes disponibles au Programme de soutien à la commercialisation et à l’exportation

Contribuer à la prospérité des régions

  • Appuyer l’essor du secteur bioalimentaire

Faire face à la pénurie de main-d’œuvre

  • Appuyer l’intégration socioéconomique des personnes immigrantes

Favoriser les bonnes pratiques environnementales

  • Reconnaître et rétribuer les pratiques agroenvironnementales

En février, Réseau végétal Québec a conclu une première entente financière de 25 000$ pour une année avec Semences Canada. Cette entente est le fruit d’un travail concerté entre l’Association des marchands de semences du Québec (AMSQ), Semences Canada et CropLife Canada.

En unifiant nos voix au Québec pour effectuer un travail concerté, nous pourrons atteindre plusieurs objectifs communs.

Sur la photo : Benoit Pharand (Réseau végétal Québec), Barry Senft (Semences Canada), Sylvain Lavoie (Réseau végétal Québec) et Georges Chaussé (Association des marchands de semences du Canada)

Le Mérite technologique agroalimentaire a été décerné cette année à M. Yves Barré, diplômé de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe, de la promotion de 1980. Cet honneur lui a été accordé le 18 janvier dernier à l’occasion du 23déjeuner-conférence de l’Association des technologues en agroalimentaire (ATA) qui se déroulait au Centre BMO en marge du Salon de l’agriculture.

M. Barré a mené de front deux carrières qu’il a poussé jusqu’à l’excellence : une carrière de producteur sur sa ferme de Saint-Damase en Montérégie et une carrière de représentant et directeur des ventes pour William Houde Ltée dans la même région.

Mérite technologique agroalimentaire 2023
M. Yves Barré reçoit le Mérite technologique agroalimentaire 2023 de M. Vincent Giasson, président de l’ATA, et de Mme Aisha Issa, directrice générale de l’ITAQ. Photo : Gaston Doré.

Chez William Houde, on fait l’éloge de son expertise technique et de sa qualité d’homme d’équipe, profondément humain, toujours attentif à ceux qui l’entourent.

« Yves c’était la porte d’entrée de l’innovation chez William Houde. Quand on avait un projet, on l’essayait d’abord chez Yves Barré et après tout allait de soi. » – Abderrezak Khedim, directeur général, William Houde.

Remis chaque année par l’Association des technologues en agroalimentaire (ATA), le Mérite technologique agroalimentaire vise à rendre hommage à une ou à un technologue qui, par son travail et par ses réalisations, a contribué de manière exceptionnelle au développement du secteur agroalimentaire, à la promotion de la profession de technologue et, de façon générale, au progrès de la société québécoise.

Les gouvernements fédéral et provincial ont tous deux annoncé des consultations publiques en lien avec l’agriculture et le développement durable en ce début d’année.

Agriculture et agroalimentaire Canada consulte présentement la population afin d’orienter le développement d’une Stratégie pour une agriculture durable (SAD). La stratégie proposera une approche intégrée et coordonnée pour répondre aux enjeux agroenvironnementaux dans le secteur.

Jusqu’au 31 mars 2023, le gouvernement recueillera les commentaires des producteurs agricoles, de l’industrie et du public pour viser une amélioration des résultats en environnement et ainsi réaliser sa vision du Canada comme leader mondial en agriculture et en production agroalimentaire durables.

Au Québec, la révision générale de la Stratégie gouvernementale de développement durable pour la période 2023-2028 est en cours. Le Conseil des ministres a donné son autorisation le 6 janvier pour que le projet de stratégie fasse l’objet d’une consultation publique dans le cadre d’une commission parlementaire, comme le prévoit la Loi sur le développement durable.

Les dates de la consultation seront précisées ultérieurement, mais la documentation est disponible sur leur site web (voir plus particulièrement l’objectif 2.2 – Améliorer la santé des écosystèmes (pages 25-26) de la Stratégie pour ce qui concerne l’agriculture).

Ces dernières années, la rémunération des professionnels qui offrent aux producteurs agricoles à la fois le service-conseil et la vente d’intrants (conseiller de première ligne) a souvent fait l’objet de préoccupations dans la sphère publique.

Afin de vous aider à y voir plus clair, voici quelques outils et ressources utiles.


Webinaire sur la rémunération globale (14 juillet 2021)

Apprenez-en plus sur les pratiques de rémunération à enrayer et identifiez quelques pistes d’amélioration.


Boîtes à outils | Documents modèles

Voici les modèles présentés en annexe du guide de bonnes pratiques ci-dessus. Ces documents visent à assurer une transparence dans la rémunération des professionnels et de limiter l’apparence de conflit d’intérêts à laquelle ils peuvent être confrontés.

L’État des cultures est un projet collaboratif appuyé par les Producteurs de grains du Québec, l’Association des commerçants de grains du Québec inc., du Réseau végétal Québec et de Via Pôle d’expertise en services-conseils agricoles, coordonné par Concertation Grains Québec.

Une centaine de producteurs, conseillers et autres intervenants du secteur des grains parcourent les champs pour évaluer la croissance des cultures. Les résultats sont publiés chaque vendredi sur le site du Bulletin des agriculteurs.

L’agronome Jean-Philippe Boucher, spécialiste des marchés des grains, compile les informations et présente sous forme de tableaux faciles à consulter l’état de santé du maïs et du soya de la province.

À l’aide de l’État des cultures, vous pouvez comparer l’avancement du maïs et du soya de votre région avec le reste du Québec. C’est un outil utile pour anticiper les rendements et la qualité des récoltes en fin de saison.

Consultez l’état des cultures de la semaine

État des cultures au 11 novembre 2022
État des cultures au 4 novembre 2022
État des cultures au 28 octobre 2022
État des cultures au 21 octobre 2022
État des cultures au 14 octobre 2022
État des cultures au 7 octobre 2022
État des cultures au 30 septembre 2022
État des cultures au 23 septembre 2022
État des cultures au 16 septembre 2022

État des cultures au 9 septembre 2022
État des cultures au 1er septembre 2022
État des cultures au 26 août 2022
État des cultures au 19 août 2022
État des cultures au 12 août 2022
État des cultures au 5 août 2022
État des cultures au 29 juillet 2022
État des cultures au 22 juillet 2022
État des cultures au 15 juillet 2022
État des cultures au 8 juillet 2022
État des cultures au 1er juillet 2022
État des cultures au 24 juin 2022
État des cultures au 17 juin 2022
État des cultures au 10 juin 2022
État des cultures au 3 juin 2022
État des cultures au 27 mai 2022
État des cultures au 20 mai 2022
État des cultures au 13 mai 2022
État des cultures au 6 mai 2022

Depuis plusieurs années, le public se montre préoccupé par l’apparence de conflit d’intérêts en lien avec la rémunération des professionnels du secteur agricole.

L’une des sources principales de ces préoccupations vient des pratiques qui accordent une rémunération supplémentaire à un employé dans le contexte de la vente d’un intrant agricole lorsque cette vente s’accompagne d’un service-conseil.

Repérer les pratiques désuètes

Il existe une grande variété de pratiques de rémunération variable, et elles ne sont pas toutes liées au même degré au conflit d’intérêt.

Quelques exemples de pratiques à éliminer :

  • Rémunération entièrement ou partiellement à commission
  • Évaluation de la performance axée sur les ventes
  • Bonus lié à la vente d’intrants agricoles
  • Ristournes
  • Concours de ventes

Reconnaître l’apport de vos employés performants

Enrayer les pratiques qui peuvent placer l’employé en conflit d’intérêt ne signifie pas que vous ne pouvez pas récompenser leur performance, mais plutôt que vous devez le faire autrement.

Gestion de la performance : baser l’évaluation de l’employé sur des critères différents

  • Qualité de la relation avec la clientèle
  • Qualité de la tenue de dossier
  • Développement de la clientèle
  • Développement professionnel et opérationnel

Miser sur une offre de rémunération globale attrayante et compétitive

  • Programme d’aide aux employés
  • Allocations de santé et bien-être
  • Service de télémédecine
  • Conciliation travail et vie personnelle
  • Programme de développement de carrière

Chaque entreprise est différente, que ce soit par sa taille, son modèle, sa culture organisationnelle, ses pratiques en place, etc. N’hésitez pas à consulter des spécialistes en ressources humaines pour procéder à une analyse complète de votre situation, identifier les changements à opérer et assurer une implantation harmonieuse de vos nouvelles pratiques de rémunération.

Outil de réflexion en rémunération globale

Le 14 juillet 2021, nous avons présenté aux membres un webinaire sur l’indépendance professionnelle au cours duquel Solertia (Onit) est venu présenter un outil de réflexion sur les bonnes pratiques en rémunération globale.

Vous avez manqué le webinaire ou souhaitez le revoir? Accédez à la présentation PDF et à l’enregistrement ci-dessous.

Le jeudi 22 septembre, Fertilisants Canada et Réseau végétal Québec ont procédé à la signature du renouvellement du protocole d’entente exclusive du programme de gestion des nutriments 4B pour un nouveau terme de 3 ans.

Par cette entente, les deux organisations démontrent leur engagement et leur leadership en matière d’agriculture durable. En effet, celle-ci permettra aux principaux intervenants du secteur agricole du Québec de protéger et conserver les sols pour la culture, tout en intégrant les principes de la gestion des nutriments 4B.

De gauche à droite : Stéphane Beaucage (administrateur, Réseau végétal Québec), Karen Proud, (PDG, Fertilisant Canada), Sylvain Lavoie, agr., M. Sc., (président, Réseau végétal Québec), Benoit Pharand, agr., CPA, MBA,  (PDG, Réseau végétal Québec)

Le protocole vise à adapter le programme de gestion des nutriments 4B au système de production agricole québécois ainsi qu’à l’état des sols et les conditions climatiques et opérationnelles de chaque région, qui sont uniques, afin d’aider les producteurs à réduire les impacts environnementaux tout en maximisant le rendement des cultures et les profits.

La gestion des nutriments 4B est une approche de gestion des nutriments reconnue à l’échelle internationale (Best Management Practice) fondée sur quatre piliers clés dans l’utilisation des fertilisants : Bon produit®, Bonne dose®, Bon moment®, Bon endroit®. Cette approche basée sur la science aide les producteurs ainsi que les intervenants du secteur agricole québécois à appliquer de manière optimale les fertilisants pour maximiser les rendements tout en réduisant les pertes dans l’environnement.

Cet engagement reconnaît le rôle incontournable des professionnels formés et qualifiés dans l’élaboration et la mise en œuvre de programmes de gestion durable des nutriments, met l’accent sur les meilleures pratiques, est fondé sur la science et permet de mettre l’accent sur le suivi rigoureux à faire aux champs.

Pour en savoir plus sur la gestion des nutriments 4B au Québec et les formations disponibles >

En cette période de migration des oiseaux sauvages, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) rappelle aux partenaires du secteur agricole que ces oiseaux sont reconnus pour être porteurs de l’influenza aviaire.

N’hésitez pas à partager le contenu de cet article dans vos réseaux professionnels et personnels afin de sensibiliser les personnes impliquées à porter attention au respect des mesures de biosécurité.

Comment le virus circule-t-il?

Le virus de l’influenza aviaire est excrété dans les fientes et les sécrétions des oiseaux sauvages infectés. Il se propage lorsque des oiseaux sauvages, des humains (qui transportent le virus sur leurs mains, leurs bottes, etc.) ou du matériel contaminé (ex. : eau ou aliments, véhicules, etc.) entrent en contact avec des élevages d’oiseaux.

Il est donc important de rehausser plus que jamais les mesures de prévention et de biosécurité autour des élevages avicoles et de rappeler les directives en lien avec l’influenza aviaire.

Surveillance

Le MAPAQ vous remercie de contribuer à la surveillance de l’influenza aviaire en signalant la présence d’un oiseau sauvage mort en composant le 1-877-346-6763. Nous vous rappelons qu’il est recommandé de ne jamais toucher à mains nues une carcasse d’animal sauvage.

Saint-Hyacinthe et Montréal, le 2 juin 2022 – L’Association des commerçants de grains du Québec (ACGQ), l’Association québécoise des industries de nutrition animale et céréalière (AQINAC), Les Couvoiriers du Québec (LCQ), Réseau végétal Québec (RVQ) et Sollio Groupe Coopératif (SGC), prennent acte du projet de Loi 41, Loi modifiant la Loi sur les agronomes, et s’inquiètent que ses orientations déstructurent l’agriculture québécoise et réduisent l’autonomie des producteurs. Ces organisations dénoncent également qu’aucune instance permettant la concertation des différentes parties prenantes du secteur n’ait été mise sur pied comme elles l’avaient demandé et s’attendent à un dialogue ouvert et constructif pour la suite des choses.

Elles tiennent à souligner qu’elles souscrivent au fait qu’une révision de la Loi sur les agronomes, qui remonte à près de 50 ans, est absolument incontournable. Cela, en raison de l’évolution de l’agriculture, et incidemment de l’environnement de travail dans lequel évoluent les professionnels. Celui-ci s’est grandement transformé au fil des décennies, notamment grâce à l’avancement des connaissances, à l’innovation technologique et à l’amélioration continuelle des pratiques tant dans les productions animales que végétales.

Alors que le Québec peut bénéficier d’une expertise unique au Canada, le projet de loi, s’il était adopté, viendrait dorénavant ignorer la compétence de centaines de professionnels issus de l’agronomie, qui travaillent quotidiennement au bénéfice des producteurs et de l’agriculture québécoise. L’adoption d’un tel projet de loi viendrait réduire l’expertise agronomique, créant ainsi l’effet contraire recherché.

Une révision législative basée sur une analyse rigoureuse des changements proposés en regard du contexte actuel sera nécessaire afin d’arriver à un résultat qui répondra aux besoins du monde agricole et aux attentes des citoyens québécois, tout en assurant la viabilité du secteur. En effet, pour assurer un avenir durable à l’agriculture d’ici, il faut savoir jumeler performance environnementale et économique, car sa compétitivité lui permet d’affronter les marchés nationaux et internationaux, et ce, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de notre territoire.

À propos de l’Association des commerçants de grains du Québec (ACGQ)
Anciennement l’Association des négociants en céréales du Québec (ANCQ)

Fondée il y a plus de 150 ans, l’ACGQ regroupe en corporation les personnes ou sociétés de personnes, physiques ou morales qui font le commerce de gains ou qui ont un intérêt dans le commerce de grains. L’ACGQ compte 22 membres et représente, de par son accréditation auprès de la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec, plus de 140 personnes et entreprises qui achètent du grain aux fins de revente dans le même état.

À propos de l’Association québécoise des industries de nutrition animale et céréalière (AQINAC)
L’AQINAC regroupe plus de 200 entreprises membres : des fabricants d’aliments pour le bétail et la volaille, des négociants en céréales et des fournisseurs d’intrants, de biens et de services. Ensemble, ils desservent la grande majorité des entreprises impliquées dans l’élevage et la production agricole.

À propos de Les Couvoiriers du Québec (LCQ)
Les Couvoiriers du Québec inc., association constituée en 1964, regroupent cinq couvoirs de « type chair ». Annuellement, les membres de l’association mettent en incubation plus de 260 millions d’œufs de « type chair » et mettent en marché plus de 220 millions de poussins. Les couvoirs de l’association emploient près de 500 personnes, en plus d’offrir une expertise technique et scientifique de pointe à leur clientèle par le biais des conseils dispensés par leurs équipes de conseillers. Les membres sont aussi impliqués directement en tant que producteurs importants de volailles.

À propos de Réseau végétal Québec (RVQ)
Réseau végétal Québec est une association d’entreprises qui œuvrent dans le secteur des productions végétales. Nos membres fournissent aux producteurs agricoles les intrants dont ils ont besoin pour assurer la santé de leurs sols et de leurs plantes, que ce soit en termes de nutrition des cultures, de phytoprotection et de semences. Nos membres emploient plus de 1 200 personnes au Québec, dont près de 300 conseillers et conseillères en production végétale.

À propos de Sollio Groupe Coopératif 
Sollio Groupe Coopératif est la plus importante coopérative agricole au Canada aux racines québécoises. Depuis 1922, cultiver, élever, produire, transformer et bâtir l’économie de demain sont des gestes quotidiens qui font partie de l’ADN de ses 15 850 employés et des 7 000 travailleurs des coopératives affiliées. Avec plus de 123 000 membres, producteurs agricoles et consommateurs regroupés au sein de 48 coopératives agricoles traditionnelles et de consommation, Sollio Groupe Coopératif contribue à nourrir les gens en veillant à la prospérité des familles agricoles pour assurer au monde un avenir durable. Grâce à ses trois divisions – Sollio Agriculture, Olymel S.E.C. et Groupe BMR inc. – Sollio Groupe Coopératif agit fièrement comme moteur de développement économique et social enraciné en région qui génère un chiffre d’affaires de 8,3 milliards $ (plus de 11 milliards $ en incluant les coopératives affiliées). Sollio Groupe Coopératif est classée parmi les sociétés les mieux gérées au Canada. Pour en savoir plus, visitez sollio.coop.

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Renseignements :

Pour l’ACGQ, l’AQINAC, RVQ et LCQ :
Marie-Claude Durand
Coordonnatrice, communications et événements
Téléphone : 450 513-3598
[email protected]

Pour Sollio Groupe Coopératif :
Stéphanie Couturier,
Vice-présidente principale, communications
Téléphone : 514 217-8503
[email protected]

Le lien pour accéder à la webdiffusion est accessible plus bas.

Fertilisants Canada et Réseau végétal Québec déploient des actions pour aider les entrepreneurs agricoles du Québec à maximiser les rendements des récoltes tout en minimisant leur impact sur l’environnement. Afin d’assurer une fertilisation appropriée et d’augmenter les rendements des cultures, les professionnels peuvent compter sur le programme 4B gestion des nutriments : bon produit, bonne dose, bon moment, bon endroit®.

LA FORMATION

Le sol étant une ressource vitale et constituant le fondement de la production agricole. Les nombreux avantages d’un sol en santé sont importants; ils sous-tendent la rentabilité à long terme de l’exploitation agricole, de notre industrie agroalimentaire et de notre environnement. L’objectif du programme 4B est de faire correspondre l’approvisionnement en nutriments avec les besoins des cultures. La santé des sols est maintenue et améliorée par des terres agricoles fertiles et productives. Le sol est donc préservé afin de soutenir la production d’aliments sains, produits en quantité suffisante. Une meilleure santé des sols améliore la qualité de l’eau, réduit les émissions de gaz à effet de serre et règle d’autres problèmes environnementaux.

Abordée comme la base, le premier diagnostic à faire pour ensuite pouvoir bâtir de bonnes recommandations 4B :

  • Échantillonnage de sol et analyse
  • Interprétation de l’analyse de sol
  • CEC (capacité d’échange cationique) et types de sol
  • Pratiques culturales / cultures de couverture / leur impact sur la santé et la fertilité des sols

Clientèle cible

  • Gestionnaires
  • Représentants
  • Services-conseils
  • Membres ou non-membres de Réseau végétal Québec

Autres renseignements

  • La formation est d’une durée d’environ 4 heures et est offerte en 3 capsules vidéos.
  • Un cahier du participant est mis à votre disposition pour faciliter la prise de note.
  • Une attestation peut être remise aux personnes ayant également suivi et réussi la formation de base. La note minimale de réussite est fixée à 80%.

Au terme de la réussite des deux formations (incluant la formation préalable), vous êtes invités à remplir de formulaire Déclaration des superficies sous Gestion 4B.

DYNAMIQUE D’ENSEIGNEMENT :

  • M. Lotfi Khiari, Ph. D., Université Laval
    Lotfi Khiari est agronome et professeur titulaire à l’Université Laval, il oeuvre depuis plus de 25 ans dans le domaine de la gestion agroenvironnementale des sols (fertilisation, agriculture de précision, gestion agroenvironnementale du phosphore, caractérisation des sols et des matières fertilisantes, santé des sols). Il est l’auteur de plusieurs publications scientifiques sur ces sujets, ainsi que des guides de bonnes pratiques agricoles. Il a publié son guide sur l’échantillonnage conventionnel des sols au Québec. Plusieurs de ses travaux de recherche ont été vulgarisés et présentés dans le guide de références en fertilisation au Québec (CRAAQ 2010) dont il est l’auteur de plusieurs chapitres. Il a développé le critère de l’ISP (indice de saturation des sols en phosphore), maintenant reconnu ailleurs en Amérique du Nord et en Europe.
  • Mme Katherine Murray, agr., Laboratoire A & L. inc.
    Professionnelle agronome avec plus de 10 ans d’expérience dans le domaine de l’agriculture au Québec. Qualifiée dans des rôles consultatifs et techniques. Représentante en développement des affaires chez A&L Canada Laboratories inc. Son rôle consiste à l’aide de la préparation et l’interprétation des analyses agronomique et le service à la clientèle, tels que les échantillons de sols, médias de serres, fumier, tissus végétaux, fourrages, et autres.

 

ATTESTATION DE RÉUSSITE

Les participants qui souhaitent obtenir le diplôme du module 1 « Santé des sol » doivent également suivre la formation de base 4B gestion des nutriments. Cette formation a été offerte au printemps 2020 par Mme Annie Pellerin, et est maintenant disponible en ligne sur le site de Fertilisants Canada (6e formation vers le bas). Pour accéder à la formation, vous devrez au préalable vous inscrire sur le site.

Les participants qui ne souhaitent pas obtenir le diplôme n’ont pas à suivre la formation préalable.

Visionnez la vidéo de la partie 3 avant de poursuivre vers le questionnaire d’évaluation de votre apprentissage.

Note : Pour obtenir votre attestation de participation à cette formation et faire votre déclaration de Formation continue (Gestion des nutriments au Québec : 21-22-286 (23-24-127R) auprès de l’Ordre des agronomes du Québec, simplement nous écrire à l’adresse suivante : [email protected] en indiquant votre nom complet et le nom de la formation complétée

Visionnez la vidéo de la partie 2 en totalité avant de poursuivre et terminer la formation.

Visionnez la vidéo de la partie 1 en totalité avant de poursuivre la formation.

Le lien pour accéder à la webdiffusion est accessible plus bas.

Le programme Gestion des nutriments 4B est né d’un partenariat entre Fertilisants Canada et Réseau végétal Québec. Ce partenariat vise entres autres, à ce que l’ensemble des services-conseils du réseau végétal soient formés afin d’aider les entrepreneurs agricoles à mettre en place leur plan d’actions bénéfiques 4B : Bon produit, bonne dose, bon moment, bon endroit®.

LA FORMATION

Au terme de la formation « Gestion des nutriments au Québec », vous serez en mesure de :

  • Intégrer la gestion 4B dans le développement durable de l’agriculture en évitant les pièges de la mal-science et des croyances dans la prise de décision.
  • Élaborer des plans d’actions bénéfiques 4B sur les entreprises agricoles québécoises.

Clientèles cibles

  • Gestionnaires
  • Représentants
  • Services-conseils
  • Membres ou non-membres de Réseau végétal Québec

Attention! Cette formation est préalable au module 1 « Santé des sols » pour les participants souhaitant obtenir l’attestation de réussite du module 1. Pour obtenir l’attestation, vous devez obtenir une note minimale de 80% au questionnaire d’évaluation.

Pour faciliter votre prise de note, vous pouvez télécharger le cahier du participant de cette formation. Ce cahier vous sera utile pour les 3 vidéos de cette formation.

Visionnez la vidéo de la partie 3 en totalité avant de poursuivre vers le questionnaire d’évaluation de votre apprentissage. Notez que si vous souhaitez recevoir l’attestation, vous devez avoir également suivi la formation préalable.

Note : Pour obtenir votre attestation de participation à cette formation et faire votre déclaration de Formation continue (Santé des sols : 21-22-145 (23-24-126R) auprès de l’Ordre des agronomes du Québec, simplement nous écrire à l’adresse suivante : [email protected] en indiquant votre nom complet et le nom de la formation complétée

Formulaire de déclaration des superficies

À la suite de la réussite de la formation, vous serez invités à remplir le formulaire Déclaration des superficies sous Gestion 4B. Le lien vers le formulaire vous sera envoyé par courriel.

Pour faciliter votre prise de note, vous pouvez télécharger le cahier du participant de cette formation. Ce cahier vous sera utile pour les 3 vidéos de cette formation.

Visionnez la vidéo de la partie 2 en totalité avant de poursuivre et terminer la formation.

Pour faciliter votre prise de note, vous pouvez télécharger le cahier du participant de cette formation. Ce cahier vous sera utile pour les 3 vidéos de cette formation.

Visionnez la vidéo de la partie 1 en totalité avant de poursuivre la formation.

Le mercredi 20 avril dernier, notre association partenaire l’AQINAC présentait conjointement avec l’Association de nutrition animale du Canada (ANAC)  un webinaire sur les permis de transport exigés par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) lors de la confirmation d’influenza aviaire sur un site.

Il est à noter que même si la présentation était concentrée sur le transport d’aliments pour le bétail, tous les intrants (fertilisants, semences, phytoprotection) destinés à une ferme avicole située dans une zone de contrôle primaire de l’ACIA sont visés par l’obligation de détenir un permis général. De plus, si votre entreprise devait être située à l’intérieur d’une zone de contrôle primaire, celle-ci devrait également détenir un permis général pour effectuer des livraisons à l’extérieur de sa zone.

Le webinaire, dont l’enregistrement est maintenant disponible, a abordé les thèmes suivants :

  • Mise à jour sur la situation de l’influenza aviaire hautement pathogène (en date du 20 avril 2022)
  • Processus de détermination des Zones de Contrôle Primaire (ZCP)
  • Exigences pour les déplacements d’intrants (destinés à des fermes avicoles) à l’intérieur, à l’extérieur ou à travers ces ZCP
  • Permis requis pour les déplacements d’intrants

Si vous avez manqué ce rendez-vous, assurez-vous de visionner la vidéo et télécharger la présentation (voir ci-dessous).

Réseau végétal Québec est grandement préoccupé par la situation mondiale marquée par le conflit opposant l’Ukraine et la Russie. Alors que les conséquences humaines sont tragiques, ce conflit entraîne également des effets collatéraux majeurs pour l’approvisionnement du Canada en matières premières essentielles au maintien de sa filière agricole et agroalimentaire.

Depuis le 3 mars, le gouvernement canadien applique un taux tarifaire de 35 % sur l’ensemble des produits en provenance de la Russie, principal fournisseur mondial de fertilisants azotés. Cette sanction économique a pour effet de déstabiliser le marché des fertilisants et de compromettre la prochaine saison de culture dans l’est du Canada.

D’une part, l’imposition d’une surtarification sera difficile à soutenir pour l’industrie et les producteurs agricoles, déjà fortement impactés par un contexte inflationniste majeur. D’autre part, les données préliminaires font état d’un déficit d’environ 100 000 tonnes métriques de fertilisants azotés pour compléter la période de semences, et ce, uniquement au Québec. Ce volume représente environ le tiers des besoins des 9 500 producteurs de grains québécois sur une base annuelle.

Dans ce contexte, Réseau végétal Québec et les Producteurs de grains du Québec ont entrepris une démarche visant à sensibiliser le gouvernement fédéral afin de minimiser les impacts de ces décisions sur le secteur des productions végétales. Nous souhaitons que des solutions soient identifiées afin de pallier les effets à court terme avec la saison de culture qui s’amorce, mais également à moyen et long terme, dans le cas malheureux où le conflit devait perdurer.

Nous maintenons également un contact étroit avec Fertilisants Canada afin de nous assurer d’adopter une démarche complémentaire dans le cadre de cet enjeu de niveau national, de même que pour demeurer à l’affût de toute information pertinente émanent des instances gouvernementales fédérales.

Le 6 décembre 2021, le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation a annoncé l’octroi d’une aide financière pouvant atteindre 1,5 M$ sur trois ans à l’Université Laval et ses partenaires pour développer les connaissances sur l’utilisation des matières résiduelles fertilisantes (MRF) en agriculture. Cet investissement vise notamment à orienter les producteurs agricoles dans leur utilisation des MRF.

Le projet de recherche servira à évaluer la valeur fertilisante de différents types de MRF et leur effet sur les propriétés du sol. Les enjeux environnementaux liés à l’utilisation de ces MRF seront également documentés et des recommandations seront émises quant aux procédures de suivi à mettre en place. L’utilisation efficiente des MRF et l’amélioration des pratiques agricoles contribuent à accroître la rentabilité des entreprises agricoles et à réduire les risques environnementaux. Pour les producteurs, l’utilisation de MRF représente une occasion de réduire les coûts de production et d’améliorer la qualité du sol.

Mise à jour 2021-12-08 : Les liens vers les webdiffusions « Notion de projet » et « Formulaires pour les demandes d’autorisation ministérielle » sont maintenant disponibles (voir plus bas).

Le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) a récemment annoncé des changements au niveau des processus des demandes de certificats d’autorisation, notamment:

  • le dépôt des déclarations de conformité se fait maintenant en ligne;
  • à compter du 6 janvier, le service en ligne sera aussi la seule porte d’entrée pour transmettre vos demandes d’autorisation ministérielle;
  • de nouveaux formulaires doivent dorénavant être utilisés pour les projets, selon les activités et impacts de celui-ci;
  • les demandes d’autorisation ministérielle doivent être recevable pour que l’analyse soit amorcée.

Le MELCC a organisé des webinaires pour présenter ces changements et répondre aux questions. Aucune inscription n’est requise, et les liens seront diffusés par le MELCC quelques jours avant la tenue du premier webinaire.

  • Survol des changements de l’automne : rediffusion du 25 novembre ou du 9 décembre
  • La recevabilité des demandes d’autorisation ministérielle : 2 décembre (9h30 à 11h), 3 février (9h à 10h30), 17 mars (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion
  • La notion de « projet »: 16 décembre (9h à 10h30), 27 janvier (9h à 10h30), 24 février (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion
  • Formulaires pour les demandes d’autorisation ministérielle : 8 décembre (9h à 10h30), 13 janvier* (9h à 10h30), 10 février (9h à 10h30), 24 mars (9h à 10h30) – Suivez ce lien pour participer à l’événement en direct ou en rediffusion
    • * Lancement de la période de consultation publique sur les formulaires
  • Service en ligne pour les autorisations ministérielles : 20 janvier (9h à 10h30), 17 février (9h à 10h30), 31 mars (9h à 10h30)

Le 22 octobre dernier, le Comité sectoriel de main-d’œuvre en transformation alimentaire tenait un webinaire afin de présenter les faits saillants du plus récent diagnostic sectoriel de l’industrie.

Cette étude, réalisée par le Groupe AGÉCO, brosse un portrait du secteur de la transformation alimentaire du Québec et de ses travailleurs afin de comprendre où se situent les pistes d’améliorations potentielles en matière de main-d’œuvre, formation et de pratiques de gestion des ressources humaines.

4 grands constats

  1. Une pénurie de la main-d’œuvre qui accentue les défis de recrutement et de rétention
  2. Des besoins de formation accrus, mais un contexte d’apprentissage difficile
  3. Conditions de travail et santé et sécurité : encore du chemin à faire malgré les progrès réalisés
  4. Des entreprises en mode automatisation

Pour en savoir plus sur les différents constats et sur les pistes de recommandations tirées du diagnostic, consultez la présentation (PDF et vidéo) du Groupe AGÉCO, ou téléchargez le document « Diagnostic sectoriel ».

CropLife Canada a récemment publié la mise à jour d’une recherche menée par la firme RIAS inc. qui montre comment les innovations en phytologie contribuent à :

  • Garantir l’accès à une alimentation abordable, sûre et nutritive
  • Aider les agriculteurs à être plus productifs tout en utilisant moins de ressources
  • Créer de l’emploi et de la croissance économique

À noter que le rapport est disponible en anglais seulement.

Sommaire du rapport

[Traduction libre du 1er paragraphe] – Ce rapport présente une mise à jour des avantages économiques, environnementaux et sociaux des innovations en science des plantes présentées dans notre rapport 2015, « The Value of Plant Science Innovations to Canadians. » Les innovations en sciences des plantes comprennent les produits antiparasitaires et la sélection végétale moderne qui, ensemble, font avancer l’agriculture durable1. Ils créent des bénéfices sociaux, économiques et environnementaux  grâce à l’amélioration des rendements des cultures, de la qualité et de l’efficacité des intrants. Les innovations en sciences des plantes jouent un rôle important dans divers domaines de l’économie et des autres aspects de la qualité de vie des Canadiens. Ils réduisent les coûts des aliments pour les consommateurs canadiens, aident à protéger l’environnement de plusieurs façons, et soutiennent la balance commerciale du Canada.

1 L’ONU définit le développement durable comme étant le fait de « répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité de satisfaire ceux des générations futures ».

Réseau végétal Québec, en collaboration avec Fertilisants Canada, est fier d’annoncer la tenue au Québec d’une nouvelle formation sous la bannière « 4B – Gestion des nutriments » soit le module Santé des sols.

Cette formation, gratuite et ouverte à tous, aura pour objectif de faire correspondre l’approvisionnement en nutriments avec les besoins des cultures :

  • La santé des sols est maintenue et améliorée par des terres agricoles fertiles et productives. Le sol est donc préservé afin de soutenir la production d’aliments sains, produits en quantité suffisante;
  • Une meilleure santé des sols améliore la qualité de l’eau, réduit les émissions de gaz à effet de serre et règle d’autres problèmes environnementaux.

La formation sera offert à deux reprises, soit en webinaire le 15 décembre ainsi qu’en présentiel le 19 janvier au Centre des congrès de St-Hyacinthe (places limitées).

*MISE À JOUR* La formation de base 4B gestion des nutriments n’est pas obligatoire pour s’inscrire au module 1, mais elle sera toutefois nécessaire pour l’obtention du diplôme du module 1 – santé des sols. La formation de base est disponible en ligne sur le site de Fertilisants Canada (voir encadré « 4B gestion des nutriments Québec »).

Le 27 octobre 2021, les membres de Réseau végétal Québec étaient réunis en assemblée générale extraordinaire afin d’entériner la composition du nouveau conseil d’administration, qui compte dorénavant :

  • 8 sièges pour les membres A
  • 3 sièges pour les membres B
  • 1 siège pour les membres associés
  • 1 siège nommé d’office à CropLife Canada

Dévoilement du nouveau conseil d’administration

À la clôture de la période de candidature le 15 octobre, les personnes suivantes ont été élues par acclamation, considérant que le nombre de candidatures reçues était équivalent au nombre de postes disponibles.

À l’issue de l’assemblée générale extraordinaire, les nouveaux administrateurs se sont réunis afin de nommer leurs officiers, soit les président, vice-président et secrétaire-trésorier. Ces rôles sont attribués pour une durée d’un an.

Membres A

Président : Sylvain Lavoie, agr., MBA, Synagri SEC Saint-Hyacinthe
Vice-président : Abderrezak Khedim, M. Sc., William Houde Ltée
Richard Adam, agr., MBA, Agrocentre Fertibec
Georges Chaussé, Sollio Agriculture
Sébastien Chénard, William Houde Ltée (Usine de St-Damase)
Éric Dionne, agr., Pedigrain
Dany Gagnon, T.P., La Coop Comax
Yannick Méthot, agr., Agrocentre SQS

Membres B

Stéphane Beaucage, Agro-100 Ltée
Patrice Lévesque, Bayer Crop Science
Louis-Philippe Pépin, agr., MBA, Corteva Agriscience

Membres associés

Secrétaire-trésorier : Charles Gauvin, agr., Financement agricole Canada

Membre CropLife Canada

Pierre Petelle, CropLife Canada

Élection du conseil : dernière étape de la transition vers Réseau végétal Québec

Rappelons que le processus de transition de l’APNC vers Réseau végétal Québec s’est officiellement enclenché le 26 mars 2021 par l’adoption d’un nouveau nom, d’un logo, de nouveaux énoncés de mission et de vision plus représentatifs de nos membres, et de deux nouvelles valeurs.

Réunis en assemblée générale annuelle le 22 septembre, les membres ont adopté des modifications aux règlements généraux, notamment au niveau des catégories de membres et de la composition du conseil d’administration pour que la gouvernance de l’association soit représentative de ses membres.

La formation du nouveau conseil d’administration de Réseau végétal Québec complète donc officiellement la transition de l’association.

Le Cégep régional de Lanaudière lance cet automne un nouveau programme d’attestation d’études collégiales portant plus précisément sur la domotique agricole et l’agriculture connectée.

La formation est offerte essentiellement à distance ou en format hybride. La prochaine cohorte débutera le 13 novembre 2021 et se terminera en décembre 2022.

Vous faites partie d’une organisation membre de Réseau végétal Québec et souhaitez avoir accès aux services exclusifs aux membres de la plateforme?

Faites la demande à votre superadmin! Cette personne est responsable de votre organisation pour Réseau végétal Québec et sera en mesure de vous fournir votre nom d’utilisateur et mot de passe.

Si vous ne le connaissez pas, écrivez-nous à [email protected] en spécifiant votre nom, prénom et entreprise.

Vous avez déjà reçu vos accès et éprouvez des difficultés à vous connecter? Visionnez nos tutoriels pour en apprendre davantage sur la façon d’accéder à votre compte.

Le 26 mars 2021, les membres de l’association avaient été convoqués à une assemblée générale extraordinaire qui visait à concrétiser un processus de réflexion entamé depuis près de 3 ans, et qui s’est officiellement amorcé à l’assemblée générale annuelle de 2020.

C’est ce même jour qu’ils ont adopté la nouvelle identité de l’association, en changeant sa dénomination pour Réseau végétal Québec et en adoptant des nouveaux énoncés de mission, vision et valeurs.

Dans les mois qui ont suivi, le conseil d’administration a poursuivi la réflexion afin de proposer également des changements aux fondements de l’association, de façon à ce que ceux-ci soient représentatifs de l’ensemble des activités des membres, que ce soit en fertilisation, en phytoprotection ou en semences.

Ainsi, lors de l’assemblée générale annuelle du 22 septembre, le conseil a proposé aux membres des modifications aux règlements généraux afin de revoir les catégories de membres et, en conséquence, la composition du conseil d’administration.

Tel qu’entériné par l’assemblée, les catégories de membres ont été redéfinies afin d’assurer une meilleure représentativité du secteur végétal et de faire la place nécessaire aux nouveaux membres dorénavant admis. Consultez la section « Profil des membres » sur la page À propos pour plus d’information.

Dans l’objectif de préserver une représentativité juste des membres dans la gouvernance de Réseau végétal Québec, l’assemblée a également entériné une nouvelle composition du conseil d’administration.

Nouvelle composition du conseil d’administration

  • 8 membres A
  • 3 membres B
  • 1 membre associé
  • 1 membre CropLife

Étant donné qu’il fallait procéder à l’adoption des règlements généraux avant de tenir des élections, le conseil d’administration actuel a voté une mesure transitoire lui permettant de poursuivre temporairement ses activités jusqu’à la tenue d’une assemblée générale extraordinaire en octobre afin de procéder aux élections. La convocation officielle sera envoyée d’ici quelques semaines.

Finalement, le conseil d’administration actuel a élaboré une nouvelle grille de cotisation qui reflète les changements apportés aux catégories de membres. La grille de cotisation pour l’année 2021-2022 sera envoyée sous peu aux membres, accompagnée des explications nécessaires.

En terminant, nous remercions toutes les personnes qui ont participé de près ou de loin aux réflexions du conseil et qui ont permis à l’association de traverser toutes ces étapes menant à la transition vers sa nouvelle identité. Nous remercions également les membres qui ont participé à l’assemblée générale annuelle et qui ont permis à ces propositions de se concrétiser.

L’équipe de la Tournée des grandes cultures vous présente l’enregistrement de la présentation des résultats de la collecte 2021 qui s’est tenu en format numérique le 9 septembre 2021.

Rappel du programme

À quoi ressembleront les rendements de maïs et de soya cet automne?

  • Rétrospective de la saison de croissance – Gels tardifs au printemps, épisodes de sécheresse dans plusieurs régions, météo variable. Cynthia Lajoie, agronome pour Pioneer, nous présente les points marquants de la saison de croissance 2021.
  • La Tournée des Grandes Cultures en images – Suivez le travail des échantillonneurs vu par la caméra d’André Dumont, journaliste et vidéaste. Découvrez le travail de plus de 60 bénévoles qui ont parcouru des centaines de champs en Montérégie, au Centre-du-Québec et sur la Rive-Nord.
  • Résultats et estimations des rendements – Quelles ont été les répercussions des conditions de croissance sur l’état des cultures et sur les perspectives des rendements pour cet automne? Jean-Philippe Boucher, agronome spécialiste des marchés et fondateur de Grainwiz présente les résultats de plus de 400 observations de champs de maïs et de soya.
  • Naviguer en temps de pénurie et de prix record – Une guerre commerciale, une pandémie mondiale, des sécheresses, de l’inflation, une Chine affamée, des élections… Wô-minute, ça fait beaucoup… L’analyste de marché, Simon Briere de R.J. O’Brien & Associés Canada fait la lumière sur quoi retenir et comment se préparer face à cet avenir incertain.

Le 4 août 2021, les ministres fédéraux de la Santé, de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire ainsi que de l’Environnement et du Changement climatique ont annoncé que le gouvernement du Canada suspendait les augmentations des limites maximales de résidus (LMR) qui ont été proposées, incluant pour le glyphosate, jusqu’au printemps prochain.

Les ministres Patty Hajdu, Marie-Claude Bibeau et Jonathan Wilkinson ont également annoncé la tenue dans les prochains mois de consultations sur la Loi sur les produits antiparasitaires afin de voir comment accroître la transparence et d’équilibrer le processus de demande d’approbation des pesticides au Canada.

Finalement, le gouvernement investira plus de 50 M$ dans l’ARLA et la recherche sur la lutte antiparasitaire d’Agriculture et Agroalimentaire Canada. Le gouvernement souhaite renforcer la surveillance et la protection de la santé et la sécurité humaine et environnementale (incluant l’amélioration de la disponibilité de données indépendantes pour appuyer les décisions d’examen des pesticides), et accélérer la recherche de solutions antiparasitaires de rechange.

Voyez notre compilation des articles et entrevues radio sur le sujet dans la revue de presse cette semaine.

Depuis plusieurs années, les membres du conseil d’administration et de nos comités internes travaillent activement afin de positionner Réseau végétal Québec comme un leader incontournable du secteur végétal.

En 2021, nous faisons le constat que l’association a atteint un niveau de maturité qui lui permet de se donner les moyens de ses ambitions. Ainsi, nous sommes heureux de procéder officiellement à l’affichage d’un poste de président-directeur général qui aura pour mission d’appuyer le conseil d’administration dans le suivi des dossiers et l’atteinte des objectifs de l’association.

Consultez la description de poste ci-dessous et aidez-nous à la faire circuler!

L’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) de Santé Canada a récemment publié une infographie sur les néonicotinoïdes afin de vulgariser au public certains faits en lien avec cette classe de produits phytosanitaires.

Dans ce document, l’ARLA précise les changements qui ont été apportés à la réglementation fédérale en lien avec les évaluations scientifiques qui ont été menées depuis 2012.

  • Protection accrue de l’environnement pour protéger les pollinisateurs et les invertébrés aquatiques
  • Révocation d’utilisations et de méthodes d’application
  • Réduction des doses d’application
  • Restrictions quant au moment de l’application avant et pendant la floraison pour protéger les pollinisateurs
  • Élargissement des zones tampons de pulvérisation
  • Nouvelles exigences pour les utilisations en serre
  • Exigences additionnelles en matière d’équipement de protection individuelle (EPI)

Le Bilan des ventes de pesticides au Québec, réalisé par le ministère de l’Environnement et de Lutte contre les changements climatiques (MELCC), a été publié le 29 juin 2021. Vous trouverez ci-dessous le communiqué publié par le MELCC à cette occasion.

Communiqué de presse – MELCC

L’édition 2019 du Bilan des ventes de pesticides au Québec est disponible. Ce bilan permet de suivre l’évolution des ventes de ces produits au Québec et celle des indicateurs de risque pour la santé et pour l’environnement en milieu agricole. Il donne aussi un portrait général de la situation québécoise et demeure une source de connaissances indispensable permettant au gouvernement du Québec de définir les orientations en matière de pesticides.

Cette édition du Bilan des ventes de pesticides au Québec indique que, pour 2019 :

  • Les ventes totales de pesticides au Québec se chiffrent à 4 323 698 kilogrammes d’ingrédients actifs (kg i.a.) et à 498 kg i.a. de néonicotinoïdes enrobant les semences;
  • Une baisse importante de 62 % des ventes d’atrazine est observée. Il s’agit d’une réduction globale de 84 % des ventes d’atrazine depuis la mise en œuvre de la justification et de la prescription agronomiques. Les bassins versants où l’on observe la plus grande proportion des ventes d’atrazine sont ceux de la rivière Yamaska et de la rivière Richelieu;
  • Moins de 2 % des superficies auraient été ensemencées avec du maïs enrobé de néonicotinoïdes, alors que c’était le cas pour 100 % des superficies avant la mise en œuvre de la justification et de la prescription agronomiques. En ce qui concerne le soya, cette proportion était de 50 % auparavant, et on l’estime maintenant à moins de 1 %;
  • Les 10 ingrédients actifs les plus vendus représentent 70 % des ventes totales de pesticides, et quatre d’entre eux sont des biopesticides. Le nombre de biopesticides figurant dans cette liste est d’ailleurs en augmentation depuis quelques années. Ces produits sont issus de sources naturelles;
  • L’indice de pression sur l’environnement poursuit la baisse observée depuis 2014;
  • Les indicateurs de risque pour la santé et l’environnement présentent une diminution respective de 25 % et de 10 % par rapport aux années de référence 2006-2008.

L’année 2019 est la première où l’ensemble des ventes au détail des pesticides les plus à risque visés par la justification agronomique, en l’occurrence l’atrazine, le chlorpyrifos et les néonicotinoïdes pouvant également enrober certaines semences (clothianidine, imidaclopride ou thiaméthoxame), doivent être déclarées. La mise en œuvre de la justification et de la prescription agronomiques vise non seulement à freiner l’utilisation systématique des pesticides les plus à risque, mais également à favoriser de meilleures pratiques agricoles. Plusieurs années seront nécessaires pour voir si les réductions observées seront maintenues.

L’édition 2019 du Bilan des ventes de pesticides au Québec présente également des ajustements aux données des années antérieures. En effet, les ventes de certaines années ont dû être amendées en raison d’une problématique en lien avec la collecte des données. Les ajustements permettent de mieux comprendre la fluctuation des ventes de l’an dernier en milieu agricole. Pour éviter que cela ne se reproduise, le Ministère s’est assuré d’améliorer les processus et fera les suivis appropriés.

Selon les données du MAPAQ, près d’un producteur agricole sur deux souffrirait de détresse psychologique au Québec.

En cette semaine nationale de la santé mentale (3 au 9 mai 2021), nous vous invitons à demeurer attentifs aux divers signaux de détresse lorsque vous vous rendez à la ferme. En tant que conseillers de confiance des producteurs, n’hésitez pas à référer une personne dans le besoin à un organisme qualifié en relation d’aide.

Nous tenons également à souligner l’importance du travail accompli au quotidien par les travailleurs de rang de l’organisme Au cœur des familles agricoles. Visionnez cette vidéo pour en savoir plus!

Coordonnées
Lundi au samedi (8 h à 16 h) : 450 768-6995

Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec a publié dans la Gazette officielle du Québec du 5 mai l’octroi d’une subvention de 1,5 M$ sur trois ans à l’Université Laval pour un projet structurant sur l’utilisation de matières résiduelles fertilisantes en agriculture.

En collaboration avec l’Université McGill et l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA), le projet de l’Université Laval aura pour objectif d’approfondir les connaissances sur les impacts, l’innocuité et l’efficacité des matières résiduelles fertilisantes.

Jusqu’au 24 mai, Santé Canada tient une consultation portant sur les nouvelles orientations concernant le règlement sur les aliments nouveaux axées sur la sélection végétale.

Les groupes visés par la consultation sont :

  • les parties réglementées
  • les intervenants qui s’intéressent au sujet
  • le grand public canadien

Les participants à la consultation sont invités à réfléchir aux questions suivantes :

  • Ces nouvelles orientations aident-elles les développeurs et les parties intéressées à déterminer quels aliments dérivés des végétaux sont ou ne sont pas des aliments nouveaux?
  • Est-il clair que les concepteurs de plantes et les parties intéressées peuvent demander à Santé Canada de les aider à faire cette détermination?
  • Les orientations renvoient-elles aux ressources les plus utiles et appropriées pour la caractérisation des végétaux? Avez-vous d’autres ressources à recommander?
  • Les lignes directrices cadrent-elles bien avec l’objectif d’une approche règlementaire fondée sur le niveau de risque pour l’innocuité des aliments que présentent les produits issus de la sélection végétale?
  • Est-ce que l’Initiative de transparence volontaire remplit sa fonction d’informer les Canadiens sur quels produits non nouveaux issus de l’édition génique sont sur le marché? Pouvons-nous en faire plus pour atteindre cet objectif?
  • Est-ce que l’orientation relative à l’évaluation préalable à la mise en marché des aliments dérivés de retransformants décrit clairement les exigences en matière d’information pour l’évaluation de ces produits?

Pour en savoir plus sur le processus de consultation ou pour y prendre part, vous pouvez consulter le site de Santé Canada.

Initiative Advancing agriculture

CropLife Canada et ses partenaires coordonnent présentement une campagne de rédaction de lettres en ligne, afin que la voix de l’industrie agricole soit représentée dans la consultation. Si vous le désirez, vous pouvez participer à la consultation par le biais du site web de cette campagne et vous inscrire à leur liste de diffusion.

À l’occasion de la Semaine de la Terre (19 au 25 avril), AgriRécup a tenu à rappeler aux partenaires du secteur agricole le retour de son programme national de recyclage.

En 2019, AgriRÉCUP évaluait que le taux moyen de contenants de plastique (23 l et moins) rapportés atteignait plus de 70 % contre 65 % trois ans auparavant. Le taux de recyclage pour 2020 sera publié en juin.

AgriRécup administre également un programme national de recyclage des grands réservoirs et barils en plastique non consignés servant pour les pesticides et les fertilisants, ainsi qu’un programme d’élimination des sacs de semences et de pesticides dans l’est du Canada et des sacs de fertilisants au Québec.

Capsule vidéo

Dans le cadre du Rendez-vous végétal 2021, une capsule mettant de l’avant cette initiative porteuse pour notre environnement a été présentée aux participants. L’avez-vous vue? N’hésitez pas à la partager à votre réseau!

Dans le cadre des élections qui se sont tenues le 31 mars, les membres de l’Ordre des agronomes du Québec ont élue Mme Martine Giguère, agr., MBA, présidente pour les 3 prochaines années. Elle succède donc à M. Michel Duval, agr., qui en a été le président pendant 4 ans.

Mme Giguère a complété un baccalauréat en sciences de l’agriculture à l’Université McGill en 1995 et un MBA pour cadres en exercice à l’Université de Sherbrooke en 2016. Elle œuvre dans le domaine depuis plus de 25 ans. Directrice du développement des affaires chez Agro-Bio Contrôle inc. depuis 2017 et journaliste pendant plus de 15 ans, elle est décrite comme une habile communicatrice et une rassembleuse.

À titre de présidente de l’Ordre, elle veillera au respect des obligations légales imparties à l’Ordre par le Code des professions et agira comme porte-parole de l’organisation dans les différents dossiers d’intérêt public reliés à la profession agronomique.

L’organisation du Rendez-vous végétal est fière de vous annoncer que sa toute première édition en formule numérique a remporté un succès record.

Le Rendez-vous végétal en quelques chiffres :

  • Plus de 1 000 participants inscrits
  • Plus de 800 personnes connectées à chacune de nos matinées de conférences
  • Plus de 6 800 visionnements des capsules « Les bons coups au
    champ » de cette année
  • Plus de 21 000 visites sur le nouveau site web
Merci à tous!

Voyez ou revoyez les conférences

À l’exception de la conférence de Mme Céline Imart, la totalité des conférences sont maintenant disponibles tout à fait gratuitement!

Pour y accéder, vous devez :

  • être inscrit à l’événement*
  • vous connecter à la plateforme avec l’adresse courriel utilisée lors de l’inscription
  • vous rendre sur la page Programmation et cliquer sur le petit plus (+) vert de la conférence de votre choix

* Les inscriptions demeureront gratuites et ouvertes jusqu’à l’automne 2021!

Visitez notre Zone exposants virtuelle

Il est toujours temps de profiter des initiatives offertes par nos exposants dans leur espace kiosque et n’hésitez pas à contacter les divers représentants via courriel afin qu’ils répondent à vos questions!

Partagez les capsules vidéos « Les bons coups au champ »

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, nous vous invitons à visionner les capsules vidéos « Les bons coups au champ » présentées lors de nos matinées de conférences. Soyez un promoteur de notre secteur! Montrez autour de vous ce que nous faisons de bien en partageant ces vidéos sur vos médias sociaux.

Le Rendez-vous végétal, une activité de formation reconnue!

  • L’Ordre des agronomes du Québec (OAQ) reconnaît un total de 6 heures (3 heures par matinée) de formation.
  • L’Ordre des technologues professionnels du Québec (OTPQ) reconnaît cette activité conférences/formation dans le cadre de son programme de développement professionnel (PDP).

Merci à nos partenaires

Le Rendez-vous végétal de cette année n’aurait pu avoir lieu sans le soutien précieux de nos partenaires financiers. L’organisation tient à les remercier à nouveau pour leur appui.

Les membres de l’Association professionnelle en nutrition des cultures (APNC) ont fièrement adopté le 26 mars 2021 une nouvelle identité de marque. Fondée en 1956, l’association poursuivra dorénavant ses activités sous le nom de Réseau végétal Québec, une dénomination plus inclusive et représentative de la vaste expertise de ses membres dans le secteur végétal.

« Les entreprises membres de notre association ont toujours eu comme objectif premier d’accompagner les producteurs afin d’assurer la rentabilité de leurs cultures » a déclaré Sylvain Lavoie, président du conseil d’administration. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de consolider notre positionnement de leaders dans le secteur en nous appuyant sur l’expertise technique et scientifique rigoureuse de nos membres et sur la promotion des meilleures pratiques. »

Ce changement de nom est l’aboutissement d’un processus de réflexion qui s’est déroulé sur plusieurs années. « Au cours de cette démarche, les administrateurs du conseil ont démontré un réel engagement à s’inscrire dans la réflexion contemporaine au sujet de nos ressources et de notre environnement » a mentionné Sébastien Lacroix, directeur général. « Avec cette nouvelle identité, les membres du Réseau végétal Québec se sont donné les outils pour démontrer leur contribution à une agriculture forte, innovatrice, responsable et durable. »

À propos du Réseau végétal Québec

Réseau végétal Québec est une association d’entreprises qui œuvrent dans le secteur des productions végétales. Nos membres fournissent aux producteurs agricoles les intrants dont ils ont besoin pour assurer la santé de leurs sols et de leurs plantes, que ce soit en termes de nutrition des cultures, de phytoprotection et de semences. Nos membres emploient plus de 1 200 personnes au Québec, dont près de 300 conseillers et conseillères en production végétale.

Solutions agricoles pour le climat (SAC) est un programme de 185 millions de dollars sur 10 ans qui permettra d’élaborer et de mettre en œuvre des pratiques agricoles pour lutter contre les changements climatiques. Grâce à des pratiques agricoles, comme l’établissement de brise-vent ou de cultures de couverture, les terres agricoles peuvent séquestrer et stocker le carbone, et ainsi réduire les émissions de gaz à effet de serre.

SAC est un programme qui s’inscrit dans le Fonds des solutions climatiques naturelles pour l’agriculture de plus de 4 milliards de dollars.

Contribution des agriculteurs à l’atteinte des cibles de réduction des émissions du Canada
Le secteur de l’agriculture, au moyen de SAC, appuie les objectifs du Plan climatique renforcé du Canada visant à rehausser les avantages naturels et climatiques en séquestrant le carbone de manière à réduire les émissions de gaz à effet de serre, à soutenir la résilience de la nature et à améliorer la qualité de vie des Canadiens. Le gouvernement du Canada a établi un objectif ambitieux clair : surpasser la cible de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 30 % par rapport au niveau de 2005 d’ici 2030 et devenir une économie carboneutre d’ici 2050.

Le programme SAC permettra de développer des centres régionaux de collaboration, connus sous le nom de laboratoires vivants, sur des installations agricoles. Dans chacun de ces centres régionaux, les agriculteurs et les groupes d’agriculteurs  seront au cœur du processus décisionnel, de l’innovation et des activités à la ferme. De plus, le programme SAC est axé sur le transfert des connaissances entre les agriculteurs afin qu’ils puissent mettre en œuvre des solutions adaptées à leur région et promouvoir la durabilité et la résilience environnementales dans le secteur agricole.

Les collaborateurs mettront en œuvre des projets qui contribueront aussi à produire des avantages environnementaux connexes, tels que :

Séquestration du carbone et réduction des gaz à effet de serre
Tout comme les forêts, les millions d’acres de terres agricoles du Canada peuvent capter et stocker du carbone et réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Le programme aidera à atteindre ou à dépasser la cible actuelle de réduction des gaz à effet de serre du Canada de 30 % (par rapport au niveau de 2005) d’ici 2030 et de zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050.

Conservation d’un sol plus sain et plus résilient
Un sol riche et sain constitue le pilier de toutes les exploitations agricoles. Les cultures de couverture et les cultures intercalaires sont seulement deux des nombreuses options qui s’offrent aux agriculteurs pour améliorer la qualité du sol, capter et stocker plus de carbone, et réduire les effets négatifs sur l’environnement causés par l’érosion du sol.

Des façons de garder l’eau propre
Du sol aux cours d’eau, l’eau est essentielle à la santé des cultures et des populations. Les pratiques agricoles peuvent contribuer à préserver l’une des plus extraordinaires ressources de l’humanité et à garder l’eau propre pour les communautés.

Protection de la biodiversité pour des exploitations agricoles durables
La biodiversité désigne la variété des formes de vie sur la Terre, des petits organismes, aux humains, en passant par les végétaux et les animaux. La protection de la diversité des formes de vie sur les exploitations agricoles peut donner lieu à des champs plus sains et à l’atténuation des problèmes de ravageurs. Par ailleurs, un plus grand nombre d’espèces végétales signifie une meilleure variété de cultures et des revenus agricoles diversifiés.

Atténuation des effets des changements climatiques au profit de tous les Canadiens
Les exploitations agricoles durables sur le plan de l’environnement permettent de lutter contre les changements climatiques, de rapprocher les communautés rurales et urbaines, et de contribuer au bien-être de tous les Canadiens en offrant des aliments sains, de l’air pur et de l’eau propre.

Processus de demande
Les projets dans chaque province seront sélectionnés en fonction de leur potentiel de stockage du carbone ou de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour être admissibles au programme Solutions agricoles pour le climat, les demandeurs doivent former un vaste réseau de partenariats dans une province, notamment avec des organismes agricoles sans but lucratif, ainsi  qu’avec des groupes environnementaux et autochtones. Le financement non remboursable offert par le programme SAC sera octroyé en plusieurs phases à compter d’avril 2021.

Phase 1 : Demandes de subvention (1er avril au 15 juin 2021) – AAC accepte les propositions pouvant atteindre 100 000 $ des organisations admissibles afin de les aider à établir un réseau de participants, selon le modèle des laboratoires vivants, qui leur permettra d’élaborer et de présenter des propositions de projets détaillées dans le but d’obtenir un financement sous forme de contribution pour établir un projet SAC.

Phase 2 : Demandes de contribution (automne 2021) – La période d’acceptation des demandes de contribution et, s’il y a lieu, des demandes de soutien financier pouvant aller jusqu’à 10 millions de dollars par projet et, le cas échéant, à la recherche et au développement d’une équipe de scientifiques dirigée par AAC, devrait commencer dès l’automne 2021. On prévoit que les projets approuvés seront lancés au printemps 2022. Il n’est pas nécessaire d’avoir obtenu une subvention à la phase 1 pour présenter une demande de contribution à la phase 2 et avoir recours au soutien à la recherche et au développement d’AAC.

Une deuxième période d’acceptation des demandes de subvention et de contribution pour d’autres projets au titre de SAC est prévue pour le printemps 2022.

Pour plus d’information visitez le site Web de Agriculture et Agroalimentaire Canada.

Le 4 février 2021, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec a convié des représentants de l’AQINAC, l’APNC (aujourd’hui Réseau végétal Québec) et l’ANCQ, ainsi que les différents acteurs de la filière des grains du Québec, pour prendre connaissance des faits saillants de l’Étude sur la compétitivité des producteurs de grains du Québec effectuée par la firme Forest Lavoie Conseil.

Vous pouvez avoir accès au rapport final de l’étude ainsi qu’à l’annexe en cliquant sur les boutons suivants :